[CES] Banquet des Preux de la Campagne de 218 – 218-10-1

[EreksenBloqué Patrouilleur du DimanchePosts : 125]

De part sa Seigneurie Ereksen le Preux de Nemo,

Maréchal de Sa Majesté Aerys,

Sénéchal de la Cavalerie,

Seigneur du Cap Nemo,

Si tu lis cette lettre, tu es invité au Banquet des Preux de la Campagne de 218 sauf si tu es persona non grata.

Tous les civils sont admis, et tous les régiments étant admis, il y a donc risque de rencontre de rivaux de régiment.

Si tu as une maîtresse, elle est la bienvenue également, si c’est ton choix.

Tout est prévu pour la meilleure retombée possible de cet évènement.

Divertissement associé

Il t’est demandé un petit texte, pas nécessairement rimé, de 12 à 48 pieds, arrangés en 2 à 8 lignes, faisant l’éloge d’un membre inscrit et mobilisé dans les régiments de la campagne de 218, sauf de toi-même et de ton hôte.

Si tu ne viens pas au banquet tu peux envoyer également un texte soumis aux mêmes règles.

Je peux également soumettre un texte selon les mêmes règles.

Les textes sont donc assez libres si ce n’est qu’ils doivent constituer l’éloge d’une personne clairement identifiée. Cela peut être en prose ou en vers. Un quatrain en alexandrins est donc licite, ou 8 vers de 6 pieds ou 6 vers de 8 pieds et tout autre arrangement du moment où les deux limites sont respectées : de 12 à 48 pieds, au total, arrangés en 2 à 8 lignes.

Il sera fait un décompte du nombre d’éloges relatifs à chaque personnage.

Le personnage (ou les personnages en cas d’égalité) ayant reçu le nombre d’éloges le plus élevé se verra attribuer le titre de Preux de la Campagne de 218.

De plus une récompense de 420 lunes sera attribuée et partagée entre les lauréats résidant encore à Port-Réal.

Sinon le prix reviendra au trésor de Sa Majesté.

[HJ] ERE organise un banquet en 218, lunaison 10, semaine 1 – R. Graymarch sera seul juge pour disqualifier un  texte qui ne serait pas un éloge d’un combattant clairement identifié. [/HJ]

- Je me trouvais auprès d'elle quand elle est morte, rappela Ned. Elle souhaitait revenir chez elle, ici, près de père et près de Brandon. » Il l'entendait encore retentir son cri - Promets-moi -, dans la chambre où l'odeur du sang se mêlait au parfum des roses. « Promets-moi, Ned ! »... il revoyait enfin la paume s'ouvrir et répandre, noirs et fanés, les pétales de roses.
(AGOT, Tome 1, Chapitre 5, Eddard)

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Modification de l’admission. Il est fortement conseillé de signaler sa venue par tout moyen (dans le fil, ou par MP), et d’indiquer si c’est avec maitresse ou non. En effet, le décompte des coûts risque de dépasser mes moyens. Je compte limiter le nombre d’entrées au banquet. Aussi j’indiquerai au fur et à mesure s’il reste encore des places.

- Je me trouvais auprès d'elle quand elle est morte, rappela Ned. Elle souhaitait revenir chez elle, ici, près de père et près de Brandon. » Il l'entendait encore retentir son cri - Promets-moi -, dans la chambre où l'odeur du sang se mêlait au parfum des roses. « Promets-moi, Ned ! »... il revoyait enfin la paume s'ouvrir et répandre, noirs et fanés, les pétales de roses.
(AGOT, Tome 1, Chapitre 5, Eddard)

[EreksenBloqué Patrouilleur du DimanchePosts : 125]

[HJ] PRECISIONS

PAS DE LIMITE DE PARTICIPANTS, tout le monde peut venir avec maîtresse ou pas et sans me prévenir… pratique pour les retardataires et envoi d’ordres à la dernière minute.

Petite précision sur les textes d’éloge : ce n’est en aucun cas obligatoire. C’est juste demandé. Ce n’est pas une condition d’admission. Et vous pouvez faire un texte même si vous ne venez pas. Le texte est à mettre en RP de la semaine 1 de vos ordres pour notre MJ.

Je rappelle également que faire l’éloge d’Ereksen le preux est INTERDIT. Et de vous-même aussi !

Il y aura de toute façon un gagnant, car il y aura au moins un texte : le mien.

[fin HJ]

 

 

 

 

- Je me trouvais auprès d'elle quand elle est morte, rappela Ned. Elle souhaitait revenir chez elle, ici, près de père et près de Brandon. » Il l'entendait encore retentir son cri - Promets-moi -, dans la chambre où l'odeur du sang se mêlait au parfum des roses. « Promets-moi, Ned ! »... il revoyait enfin la paume s'ouvrir et répandre, noirs et fanés, les pétales de roses.
(AGOT, Tome 1, Chapitre 5, Eddard)

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