Prêtres à barbe de Norvos

De La Garde de Nuit
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V.O. : Bearded Priests of Norvos

Les « prêtres à barbe » forment le groupe religieux à la tête de la théocratie de Norvos.

Histoire

Les prêtres à barbes sont issus d'une des nombreuses sectes religieuses de l'empire valyrien. Ils fondent la ville de Novros pour y adorer leur dieu, à l'exception de tout autre, allant à contre courant de la liberté de culte alors en cours dans l'Empire. Malgré plusieurs alliances avec Qohor, ils n'apprécient pas la Chèvre Noire de Qohor qu'ils considèrent comme vile et traîtresse par nature[1].

Organisation

Ces prêtres dirigent la ville depuis leur temple-forteresse d'où ils peuvent écouter leur dieu. Ce dernier les guiderait entre autre dans le choix des magistrats à mettre en place pour gouverner.

La religion qu'ils pratiquent est très secrète, au point que seuls les initiés ont le droit de connaitre le nom du dieu qu'ils vénèrent. Une fois leurs vœux prononcés, ils ont interdiction de couper leurs cheveux ou raser leur barbe. Cela les différencie des autres hommes libres qui ne peuvent porter que la moustache, et des esclaves entièrement rasés[2].

Les prêtres entretiennent une garde sainte de soldats d'élite[3] afin de maintenir l'ordre.

L'entraînement des gardes

Des enfants abandonnés ou des cadets de trop grandes familles leur sont vendus afin d'être entraînés pour devenir l'élite des gardes du corps. L'entraînement dure jusqu'à au moins seize ans. À la fin de cette formation, les gardes formés « épousent » leur hallebarde[N 1] qui sera leur arme pour la vie. Ils l'entretiennent alors quotidiennement pour la garder affûtée. À la fin de la cérémonie, les prêtres à barbe marquent au fer rouge le symbole d'une hallebarde sur la poitrine de l'étudiant. Puis ce dernier jure de « servir, obéir, protéger »[3].

Membres connus

  • Areo Hotah fut vendu aux prêtres qui l’entraînèrent par la suite.

Voir aussi

Notes et références

Notes

  1. La version originale parle de "longaxe" ou "double-bladed axe" ce qui correspond donc plus à une hache à double lame montée sur un manche long, plutôt qu'une hallebarde comme l'a traduit Jean Sola.

Références