Modification de The Winds of Winter, Chapitre provisoire, Barristan 1

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L’aube est bientôt là. Quelqu’un parle d’une « aube rouge », et ser Barristan pense alors à une « aube de [[dragon]] ». La nuit précédente, il a prié chacun des [[Sept]] et leur a demandé différentes choses, priant en dernier lieu l'[[Étranger]] pour sa pitié. Même s’il sait que tout homme doit mourir un jour, il espère survivre à cette journée.  
 
L’aube est bientôt là. Quelqu’un parle d’une « aube rouge », et ser Barristan pense alors à une « aube de [[dragon]] ». La nuit précédente, il a prié chacun des [[Sept]] et leur a demandé différentes choses, priant en dernier lieu l'[[Étranger]] pour sa pitié. Même s’il sait que tout homme doit mourir un jour, il espère survivre à cette journée.  
  
D’autres cadavres tombent du ciel. Ser Barristan remarque la réaction de Tumco Lho et s’aperçoit que le gamin a plus peur de la maladie que des ennemis devant les portes. Devant ses hommes, ser Barristan prononce alors un discours vibrant à propos de la peur. Au début, l'Agneau rouge y semble réfractaire, indiquant qu’il n’a pas peur de la mort, car elle lui permettrait de rencontrer le [[Pâtre Suprême|Grand Berger]], de briser alors son bâton de berger en deux pour le blâmer d’avoir crée un peuple pacifique dans un monde si violent. Ser Barristan continue sa harangue, disant que « rien n’est plus terrible, plus glorieux, plus absurde » que la guerre. [[Barristan Selmy|Le Hardi]] admet même avoir fait sous lui lors de sa première vraie bataille. Il est alors interrompu par un murmure parmi les soldats : un feu est allumé dans la [[harpie]] au sommet de l’une des pyramides, signifiant que chacun doit rejoindre son poste pour débuter l’attaque<ref name="adwd,c71">[[A Dance with Dragons, Chapitre 71, La Main de la reine]].</ref>. Les portes s’ouvrent et ser Barristan sonne la charge.
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D’autres cadavres tombent du ciel. Ser Barristan remarque la réaction de Tumco Lho et s’aperçoit que le gamin a plus peur de la maladie que des ennemis devant les portes. Devant ses hommes, ser Barristan prononce alors un discours vibrant à propos de la peur. Au début, l'Agneau rouge y semble réfractaire, indiquant qu’il n’a pas peur de la mort, car elle lui permettrait de rencontrer le [[Pâtre Suprême|Grand Berger]], de briser alors son bâton de berger en deux pour le blâmer d’avoir crée un peuple pacifique dans un monde si violent. Ser Barristan continue sa harangue, disant que « rien n’est plus terrible, plus glorieux, plus absurde » que la guerre. [[Barristan Selmy|Le Hardi]] admet même avoir fait sous lui lors de sa première vraie bataille. Il est alors interrompu par un murmure parmi les soldats : un feu est allumé dans la [[harpie]] au sommet de l’une des pyramides, signifiant vraisemblablement que chacun doit rejoindre son poste pour débuter l’attaque. Les portes s’ouvrent et ser Barristan sonne la charge.
  
 
== Notes et références ==
 
== Notes et références ==

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