Modification de The Winds of Winter, Chapitre provisoire, Barristan 1
Attention : vous n’êtes pas connecté. Votre adresse IP sera visible de tout le monde si vous faites des modifications. Si vous vous connectez ou créez un compte, vos modifications seront attribuées à votre nom d’utilisateur, avec d'autres avantages.
Cette modification va être annulée.
Veuillez vérifier les différences ci-dessous, puis publier l’annulation si c’est bien ce que vous voulez faire.
Version actuelle | Votre texte | ||
Ligne 27 : | Ligne 27 : | ||
Ser Barristan rappelle à ses commandants qu’ils doivent battre en retraite ou avancer lorsqu’ils entendront l'Agneau rouge sonner la corne. Le Veuf demande quoi faire si aucune sonnerie ne se fait entendre, c’est-à-dire si ser Barristan et ses hommes sont morts. Se doutant que ce sera probablement le cas, car il a l’intention d’être le premier à traverser les lignes yunkaïies, ser Barristan le désigne pour prendre alors le commandement. Ser Barristan se remémore alors comment le [[Lord Commandant de la Garde Royale|lord Commandant]] [[Gerold Hightower]] lui avait autrefois conseillé de ne jamais parler de défaite avant une bataille, car les dieux laissent parfois traîner une oreille parmi les mortels. | Ser Barristan rappelle à ses commandants qu’ils doivent battre en retraite ou avancer lorsqu’ils entendront l'Agneau rouge sonner la corne. Le Veuf demande quoi faire si aucune sonnerie ne se fait entendre, c’est-à-dire si ser Barristan et ses hommes sont morts. Se doutant que ce sera probablement le cas, car il a l’intention d’être le premier à traverser les lignes yunkaïies, ser Barristan le désigne pour prendre alors le commandement. Ser Barristan se remémore alors comment le [[Lord Commandant de la Garde Royale|lord Commandant]] [[Gerold Hightower]] lui avait autrefois conseillé de ne jamais parler de défaite avant une bataille, car les dieux laissent parfois traîner une oreille parmi les mortels. | ||
− | L’aube est bientôt là. Quelqu’un parle d’une « aube rouge », et ser Barristan pense alors à une « aube de [[dragon]] ». La nuit précédente, il a prié chacun des [[Sept]] et leur a demandé différentes choses, priant en dernier lieu l'[[Étranger]] pour sa pitié. Même s’il sait que tout homme doit mourir un jour, | + | L’aube est bientôt là. Quelqu’un parle d’une « aube rouge », et ser Barristan pense alors à une « aube de [[dragon]] ». La nuit précédente, il a prié chacun des [[Sept]] et leur a demandé différentes choses, priant en dernier lieu l'[[Étranger]] pour sa pitié. Même s’il sait que tout homme doit mourir un jour, le garde régin espère survivre à cette journée. |
D’autres cadavres tombent du ciel. Ser Barristan remarque la réaction de Tumco Lho et s’aperçoit que le gamin a plus peur de la maladie que des ennemis devant les portes. Devant ses hommes, ser Barristan prononce alors un discours vibrant à propos de la peur. Au début, l'Agneau rouge y semble réfractaire, indiquant qu’il n’a pas peur de la mort, car elle lui permettrait de rencontrer le [[Pâtre Suprême|Grand Berger]], de briser alors son bâton de berger en deux pour le blâmer d’avoir crée un peuple pacifique dans un monde si violent. Ser Barristan continue sa harangue, disant que « rien n’est plus terrible, plus glorieux, plus absurde » que la guerre. [[Barristan Selmy|Le Hardi]] admet même avoir fait sous lui lors de sa première vraie bataille. Il est alors interrompu par un murmure parmi les soldats : un feu est allumé dans la [[harpie]] au sommet de l’une des pyramides, signifiant que chacun doit rejoindre son poste pour débuter l’attaque<ref name="adwd,c71">[[A Dance with Dragons, Chapitre 71, La Main de la reine]].</ref>. Les portes s’ouvrent et ser Barristan sonne la charge. | D’autres cadavres tombent du ciel. Ser Barristan remarque la réaction de Tumco Lho et s’aperçoit que le gamin a plus peur de la maladie que des ennemis devant les portes. Devant ses hommes, ser Barristan prononce alors un discours vibrant à propos de la peur. Au début, l'Agneau rouge y semble réfractaire, indiquant qu’il n’a pas peur de la mort, car elle lui permettrait de rencontrer le [[Pâtre Suprême|Grand Berger]], de briser alors son bâton de berger en deux pour le blâmer d’avoir crée un peuple pacifique dans un monde si violent. Ser Barristan continue sa harangue, disant que « rien n’est plus terrible, plus glorieux, plus absurde » que la guerre. [[Barristan Selmy|Le Hardi]] admet même avoir fait sous lui lors de sa première vraie bataille. Il est alors interrompu par un murmure parmi les soldats : un feu est allumé dans la [[harpie]] au sommet de l’une des pyramides, signifiant que chacun doit rejoindre son poste pour débuter l’attaque<ref name="adwd,c71">[[A Dance with Dragons, Chapitre 71, La Main de la reine]].</ref>. Les portes s’ouvrent et ser Barristan sonne la charge. |