Modification de The Winds of Winter, Chapitre provisoire, Barristan 2

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Ser [[Barristan]] est tellement nerveux que sa gorge se noue alors qu’il passe les portes de [[Meereen]] à cheval. Il sait que ce sentiment le quittera lorsqu’il sera au cœur de la bataille et que tout semblera se dérouler au ralenti. La [[argenté|jument argentée]] de [[Daenerys]] distance aisément les garçons, puis le reste de la cavalerie, ce qui plaît à Barristan, qui souhaite dépasser le [[Veuf]] et frapper le premier. Les [[Yunkaïis]] sont totalement pris de court et ser Barristan se rapproche du plus gros des [[Armement#Engins de siège|trébuchets]], la [[Mégère]]. Alors que les [[Corbeaux Tornade]] se mettent à crier « [[Daario Naharis|Daario]] ! » et « Corbeaux Tornade ! », la [[Main]] de la [[Daenerys|Reine]] pense qu’il ne remettra plus jamais en cause la valeur des [[mercenaires]] au combat. Les légions des Yunkaïis ne sont plus qu’à une trentaine de mètres lorsqu’elles parviennent enfin à prendre position ; le ciel se noircit alors de flèches. Un [[écuyer]] des Corbeaux Tornade est tué et un carreau transperce le bouclier de Barristan. Un cor sonne trois coups, annonçant les [[combattant d'arène|combattants d'arène]] qui passent la porte derrière eux. La Main de la Reine jette un coup d’œil aux [[combattant d'arène|combattants]] des [[arènes de combat|arènes]] : ils sont environ deux cents mais font plus de bruit que deux mille hommes. Il remarque particulièrement une femme, vêtue uniquement de jambières, de sandales, d'une jupe en maille et portant un python. Il est un peu choqué et, tandis qu’il voit ses seins balloter, se dit qu'elle vit certainement son dernier jour.
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Ser [[Barristan]] est tellement nerveux que sa gorge se noue alors qu’il passe les portes de [[Meereen]] à cheval. Il sait que ce sentiment le quittera lorsqu’il sera au cœur de la bataille et que tout semblera se dérouler au ralenti. La [[argenté|jument argentée]] de [[Daenerys]] distance aisément les garçons, puis le reste de la cavalerie, ce qui plaît à Barristan, qui souhaite dépasser le [[Veuf]] et frapper le premier. Les [[Yunkaïis]] sont totalement pris de court et ser Barristan se rapproche du plus gros des [[Armement#Engins de siège|trébuchets]], la [[Mégère]]. Alors que les [[Corbeaux Tornade]] se mettent à crier « [[Daario Naharis|Daario]] ! » et « Corbeaux Tornade ! », la [[Main]] de la [[Daenerys|Reine]] pense qu’il ne remettra plus jamais en cause la valeur des [[mercenaires]] au combat. Les légions des Yunkaïis ne sont plus qu’à une trentaine de mètres lorsqu’elles parviennent enfin à prendre position ; le ciel se noircit alors de flèches. Un [[écuyer]] des Corbeaux Tornade est tué et un carreau transperce le bouclier de Barristan. Un cor sonne trois coups, annonçant les [[combattant d'arène|combattants d'arène]] qui passent la porte derrière eux. La Main de la Reine jette un coup d’œil aux combattants des [[arènes de combat|arènes]] : ils sont environ deux cents mais font plus de bruit que deux mille hommes. Il remarque particulièrement une femme, vêtue uniquement de jambières, de sandales, d'une jupe en maille et portant un python. Il est un peu choqué et, tandis qu’il voit ses seins balloter, se dit qu'elle vit certainement son dernier jour.
  
 
Les combattants hurlent « [[Famille Loraq|Loraq]] ! » ou encore « [[Hizdahr zo Loraq|Hizdar]] ! », mais certains d’entre eux crient « Daenerys ! ». [[Larraq]] reçoit une flèche dans la poitrine, attirant l’attention de ser Barristan, mais l’écuyer continue de brandir et de secouer sa bannière. Ser Barristan a réussi à atteindre la Mégère, mais une [[Légions de Fer|légion]] [[Ghiscaris|ghiscarie]] forte de six mille hommes protège désormais le trébuchet. Les soldats se sont alignés sur six rangs : le premier s’est déjà agenouillé, la lance en avant, tandis que le second tient son arme au niveau des hanches, et que le troisième fait passer la sienne par-dessus les épaules des seconds. Les trois derniers rangs se tiennent en retrait, dans l’attente de camarades à remplacer lorsque ces derniers tomberont. Comparant ses ennemis à une chaîne de [[mestre]], laquelle n’a pas plus de force que son maillon le plus faible, ser Barristan identifie les seigneurs de Yunkaï comme étant celui-ci, probablement plus faibles en tout cas, que les légions d’[[esclaves]]. Parmi eux, le [[Garde Régine]] prend pour cible le [[Paezhar zo Myraq|Ramier]] et ses [[Hérons]] (des esclaves choisis pour servir dans ses troupes et qui étaient déjà monstrueusement grands avant d'être montés sur des échasses). Ils portent des écailles et des plumes roses ainsi que des becs en acier. Le vieux soldat s'aperçoit rapidement qu’ils sont aveuglés par la lumière du soleil couchant, et plutôt que de rentrer dans la légion protégeant le trébuchet, détourne son cheval à la dernière minute et charge les Hérons.
 
Les combattants hurlent « [[Famille Loraq|Loraq]] ! » ou encore « [[Hizdahr zo Loraq|Hizdar]] ! », mais certains d’entre eux crient « Daenerys ! ». [[Larraq]] reçoit une flèche dans la poitrine, attirant l’attention de ser Barristan, mais l’écuyer continue de brandir et de secouer sa bannière. Ser Barristan a réussi à atteindre la Mégère, mais une [[Légions de Fer|légion]] [[Ghiscaris|ghiscarie]] forte de six mille hommes protège désormais le trébuchet. Les soldats se sont alignés sur six rangs : le premier s’est déjà agenouillé, la lance en avant, tandis que le second tient son arme au niveau des hanches, et que le troisième fait passer la sienne par-dessus les épaules des seconds. Les trois derniers rangs se tiennent en retrait, dans l’attente de camarades à remplacer lorsque ces derniers tomberont. Comparant ses ennemis à une chaîne de [[mestre]], laquelle n’a pas plus de force que son maillon le plus faible, ser Barristan identifie les seigneurs de Yunkaï comme étant celui-ci, probablement plus faibles en tout cas, que les légions d’[[esclaves]]. Parmi eux, le [[Garde Régine]] prend pour cible le [[Paezhar zo Myraq|Ramier]] et ses [[Hérons]] (des esclaves choisis pour servir dans ses troupes et qui étaient déjà monstrueusement grands avant d'être montés sur des échasses). Ils portent des écailles et des plumes roses ainsi que des becs en acier. Le vieux soldat s'aperçoit rapidement qu’ils sont aveuglés par la lumière du soleil couchant, et plutôt que de rentrer dans la légion protégeant le trébuchet, détourne son cheval à la dernière minute et charge les Hérons.

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