Étranger (monture)

De La Garde de Nuit
Aller à : navigation, rechercher

Icone homonymie.pngPour les articles homonymes, voir cette page d'homonymie.


V.O. : Stranger puis Driftwood

Étranger est l'étalon noir de Sandor Clegane. C'est un coursier massif, presque aussi grand qu'un destrier mais beaucoup plus rapide. Extrêmement agressif avec le commun des mortels, il ne se montre d'une docilité absolue qu'avec son propriétaire[1]

Dans AGOT[modifier]

Sandor Clegane semble avoir fait l'acquisition de ce destrier grâce au prix qu'il a reçu pour avoir remporté le tournoi de la Main. C'est une monture violente et agressive pour tout autre que son maître. Nul ne peut la monter, ni même l'emmener sans l'autorisation de Sandor[2]. Son nom vient de la religion des Sept, pour laquelle l'Étranger est une des sept faces divines, celle symbolisant la mort et l'inconnu.

Dans ACOK[modifier]

Bien que sa monture ne soit pas nommée, c'est sans doute Étranger que monte Sandor Clegane, lors de l'émeute qui éclate à Port-Réal, après le départ de la princesse Myrcella pour Dorne : ayant dû mettre pied à terre, il s'inquiète de son sort et retourne dans la ville en feu pour le retrouver[3].

Dans ASOS[modifier]

Fuyant Port-Réal après la bataille de la Néra, Sandor vagabonde dans le Conflans, monté sur Étranger. Cavalier et monture sont capturés par la fraternité sans bannières près de Pierremoûtier[4]. Après avoir remporté un duel judiciaire contre lord Béric Dondarrion, Sandor est libéré et sa monture lui est restituée[5]. Capturée peu de temps après par Sandor, Arya Stark tente de fuir en s'emparant de sa monture mais le farouche coursier manque alors de la défigurer d'un coup de dents. La jeune fille constate par la suite qu'elle n'a jamais vu de cheval plus prompt à mordre et à ruer[1].

Dans AFFC[modifier]

Alors que Sandor Clegane repose en paix, Étranger est recueilli par la communauté religieuse de l'île de Repose, qui le renomme Bois-Flotté. Elle tente de le castrer afin de le mettre aux travaux des champs, mais le destrier - n'ayant rien perdu de son caractère - blesse plusieurs Frères[2].

Notes et références[modifier]