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[Lapin rouge Fléau des AutresPosts : 4628]

Dans le genre « Je-rentabilise-mon-abonnement-Max-en-regardant-de-vieilles-séries-HBO-que-je-ne-connais-pas-encore », et après The Wire, je me suis mis aux Sopranos (6 saisons de 1999 à 2007).

Pour celles et ceux qui ne connaîtraient pas l’argument de départ, le voici :

Tony Soprano, gangster italo-américain habitant dans le New Jersey, souffre de crises de panique et doit voir en secret une psychiatre, le docteur Jennifer Melfi. Tony rencontre des problèmes avec sa famille : il est en conflit avec sa femme Carmela, ses deux enfants, Meadow et Anthony Junior, sa mère Livia et son oncle « Junior ». Il doit faire face à des problèmes de succession au sein de la mafia italo-américaine, des vendettas personnelles, et est soumis à la peur constante des espions.

Merci Wikipédia !

J’ai fini la saison 1, et j’avoue être un peu déçu. Je ne vois pas trop où la série veut m’emmener. Chaque épisode constitue presque une histoire en lui-même, mais je ne perçois pas la cohérence d’ensemble. Les rendez-vous avec Melfi sont parfois les moteurs de l’intrigue, et parfois anecdotiques, un épisode va être centré sur tel personnage secondaire, le suivant sur un autre, ou va revenir sur Tony, etc.

Il y a bien sûr une évolution globale au cours de la saison, principalement concernant les rapports entre Tony, sa mère et son oncle. Mais il faut sans doute que je recadre mes anticipations : ce n’est pas The Wire côté mafiosi, c’est une autre approche, moins chorale et avec un ton à la fois plus grinçant et plus comique.

Reste que l’interprétation est top, que les morceaux de musique en bande-son sont très sympas, et puis on est quand même dans le haut du panier en matière d’écriture des personnages et de construction de chaque épisode. Donc je vais poursuivre sans hésitation.

They can keep their heaven. When I die, I’d sooner go to Middle Earth.

[DJC Pas TrouillardPosts : 597]

En vieille série, puis-je me permettre de te proposer Six feet under ? 🙂 Je n’ai pas vu les Sopranos, mais The Wire (et Treme!) est parmi mon top

[R.Graymarch BarralPosts : 10582]

Six Feet Under, ma série préférée (on en parlait ailleurs, il y a bien longtemps^^)

J’ai vu The Sopranos lors de sa diffusion. J’ai le sentiment de ne pas avoir le niveau pour vraiment apprécier l’œuvre. Car l’auteur est super fin et rien n’est laissé au hasard (je me souviens d’une chanson de fin d’épisode « I saved the world today », ben ouais). Et c’est une sacrée gageure de « cacher » tout cet aspect derrière un côté « mafieux basique » qui peut attirer des gens venus que pour ça. L’intérêt vient beaucoup de l’évolution des personnages, ou leur stagnation. L’auteur s’attache souvent à nous montrer des côtés affreux de Tony au cas où on viendrait un peu trop à sympathiser avec lui (la liaison avec la psy est quand même un peu irréelle cependant). Team Meadow, bien entendu !

Je sers la Garde et c'est ma joie. For this night, and all the nights to come
MJ de Chanson d'Encre et de Sang (2013-2020) et de parties en ligne de jeu de rôle
MJ par intérim de Les Prétendants d'Harrenhal (2024-), rejoignez-nous
DOH : #TeamLoyalistsForeverUntilNow. L’élu des 7, le Conseiller-Pyat Pree qui ne le Fut Jamais

[Lapin rouge Fléau des AutresPosts : 4628]

DJC wrote:

En vieille série, puis-je me permettre de te proposer Six feet under ? 🙂 Je n’ai pas vu les Sopranos, mais The Wire (et Treme!) est parmi mon top

Six feet under est dans ma liste de favoris sur Max, je vais y ajouter Treme (4 saisons, 36 épisodes d’une heure, je ne suis pas près de résilier mon abonnement ! ).

R.Graymarch wrote:

Six Feet Under, ma série préférée (on en parlait ailleurs, il y a bien longtemps^^)

J’ai vu The Sopranos lors de sa diffusion. J’ai le sentiment de ne pas avoir le niveau pour vraiment apprécier l’œuvre. Car l’auteur est super fin et rien n’est laissé au hasard (je me souviens d’une chanson de fin d’épisode « I saved the world today », ben ouais). Et c’est une sacrée gageure de « cacher » tout cet aspect derrière un côté « mafieux basique » qui peut attirer des gens venus que pour ça. L’intérêt vient beaucoup de l’évolution des personnages, ou leur stagnation. L’auteur s’attache souvent à nous montrer des côtés affreux de Tony au cas où on viendrait un peu trop à sympathiser avec lui (la liaison avec la psy est quand même un peu irréelle cependant). Team Meadow, bien entendu !

Je n’ai peut-être pas le niveau non plus, parce que pour le moment, je n’ai pas perçu la finesse que tu évoque (même si la série est bien fichue). Quant aux côtés antipathiques de Tony, ben déjà c’est un mafioso, donc à la base quelqu’un qui vit du vol, du trafic, du racket, de la prostitution, etc., donc pas trop recommandable (ce qui n’empêche pas les persos de mafiosi d’être fictionnellement intéressants, cf. les filmographies de Coppola et de Scorsese, par exemple). Mais le voir carrément assassiner de sang-froid un type en l’étranglant, c’est sûr que ça calme.

Team Meadows, je suppose que je comprendrai de quoi il s’agit plus tard…

They can keep their heaven. When I die, I’d sooner go to Middle Earth.

[R.Graymarch BarralPosts : 10582]

Sans trop en révéler, en étant proche de Tony, on peut sentir de l’empathie, voire plus. Sauf que la réalité de son activité frappe vite (et souvent). Quant à Meadow, elle est là depuis le début. Mais on apprécie (ou déteste) certains personnages quand on voit leur évolution au cours des saisons.

Devs (2020) mini-série en 8 épisodes d’Alex Garland avec son crew habituel (et je n’ai pas reconnu « Mysaria »)

Lily et Sergueï travaillent comme informaticiens (au sens large) dans une grosse boite de tech très mystérieuse qui se nomme Amaya. Au sein d’icelle, il y a un département top secret : Devs. Et il s’y passe des choses étranges

Série high tech mais avec un côté thriller (je ne spoile rien mais ça vient vite) qui permet de ne pas être rebuté par le côté un peu « sec ». Je n’ai pas un grand souvenir de Ex Machina mais on dirait qu’il y a beaucoup de liens. Au final, c’est très beau, bien interprété, mais je suis moyennement inspiré par le côté déterministe de l’existence et pas totalement emballé par la série. A voir si c’est votre genre

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[R.Graymarch BarralPosts : 10582]

Dix huit mois plus tard, saison 4 de Parlement. Sur le fond, je ne change toujours pas d’avis, je trouve ça étrange de « promouvoir » (ou au moins « faire connaître/rendre moins opaque ») l’UE en présentant des gens qui sont idiots ou arrivistes

Peut être que je m’y suis fait, mais Xavier Lacaille joue très bien la comédie et ça peut être rigolo de voir son personnage improviser un truc devant des médias et c’est repris par les journalistes. Pourtant, pourtant, il y a un sous-texte un peu plus inquiet. On était habitués à ceux qui poussent leurs intérêts personnels ou nationaux devant ceux de l’Europe mais là, on a la présence au parlement de gens qui sont élus mais sont pour autant pour la destruction de l’Europe (tout en profitant de son pognon quand même). Cela n’augure rien de bon pour le futur de l’UE et je trouve que c’est évoqué en (pas si) creux.

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[Liloo75 Fléau des AutresPosts : 3832]

J’ai regardé De parfaites demoiselles de Gema R. Neira et Maria José Rustarazo.

L’histoire est racontée du point de vue de Elena Bianda, une dame de compagnie qui s’est spécialisée dans la recherche d’un époux convenable pour les jeunes filles de bonnes familles.

Nous sommes en Espagne, fin XIXème siècle, et la série se déroule dans des décors somptueux.

Dès le premier épisode, nous suivons Elena qui cherche un nouvel emploi, mais aussi un toit pour dormir. Car les chaperons sont logés par ceux qui les emploient. L’enjeu du choix de la famille employeuse est donc crucial.

Elena a jeté son dévolu sur la famille Mencía qui a trois filles à marier, par conséquent ce serait un emploi sur le long terme, si Elena réussit à se faire embaucher.

Nous devenons assez vite que Elena a un passé qu’elle cherche à cacher. Ce qui viendra pimenter l’histoire.

C’est drôle avant tout, romantique souvent, mais derrière le rire se cachent également des messages plus profonds comme le droit pour une jeune fille de faire des études, celui de choisir de ne pas se marier, etc.

J’ai passé un très bon moment, c’était plaisant à regarder, avec des situations burlesques, parfois dramatiques. Je ne sais pas trop à quelle autre série la comparer. C’était un ovni dans le monde des séries d’époque en costumes ^^

Ah, une dernière chose, la narratrice brise souvent le quatrième mur. Personnellement, j’ai beaucoup aimé, cela m’a aidée à me rapprocher des personnages.

 

 

• Cette réponse a été modifiée le il y a 1 mois par Liloo75.

- De quels diables de dieux parlez-vous, lady Catelyn ? (…) S’il existe vraiment des dieux, pourquoi donc ce monde est-il saturé de douleur et d’iniquité ?
- Grâce aux êtres de votre espèce.
- Il n’y a pas d’êtres de mon espèce. Je suis unique.

[R.Graymarch BarralPosts : 10582]

Très intrigué et très énervé par The Rehearsal de Nathan Fielder (HBO, une saison de 6 épisodes en 2022 et autant en 2025) mais je pense que c’est un peu le but.

Le comédien canadien est persuadé (veut nous persuader?) qu’en répétant des situations à l’identique et en faisant de petites variations, on peut obtenir LA bonne réponse/LA bonne action. Sur le principe, pourquoi pas… sauf que ça prend des proportions énormes notamment au niveau budgétaire (on voit que HBO ait moins de pognon pour HOTD^^) : on refait des appartements ou des cafés à l’identique dans des entrepôts, on embauche des dizaines d’acteurs… et tant d’autres trucs que je ne spoile. Par exemple, il réunit des comédiens à qui il donne une mission (liée de manière assez lointaine à l’intrigue de la saison) mais comme cela ne tourne pas comme il veut, il embauche d’autres comédiens qui vont jouer le rôle de ces comédiens, sachant que le donneur de mission sera joué par quelqu’un d’autre et que le vrai Nathan sera à la place d’un des comédiens du premier lot dont il va imiter la vie pour comprendre ce qu’il ressent etc

Le tout est divertissant c’est vrai mais épuisant aussi, comme de la télé réalité que ça veut singer (tout en faisant autre chose ?). Pour ma santé mentale, je préfère me dire que tout est scripté sans le dire car l’inverse serait trop effrayant pour moi

Je sers la Garde et c'est ma joie. For this night, and all the nights to come
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[Eridan VervoyantPosts : 6508]

Liloo75 wrote:

J’ai regardé De parfaites demoiselles de Gema R. Neira et Maria José Rustarazo.

J’ai regardé cette série aussi, et … je n’ai pas aimé ! ^^’

Il y a bien tout ce que tu décris, et au début, j’ai trouvé ça super accrocheur (j’adore qu’un personnage s’adresse à moi, ça crée une forte complicité très accrocheuse !) sauf qu’au final, j’ai trouvé le traitement des sujets assez mièvre : tout est trop facile, tout se termine bien parce que tous les personnages importants sont finalement des gentils très gentils ; les sujets ne sont pas vraiment traités, les problèmes pas vraiment résolus … ou plutôt, ils sont esquivés, parce qu’au final, les filles qui redoutent leur père ont sûrement le père le plus ouvert d’esprit qu’on puisse s’imaginer ! (Typiquement, la jeune qui rentre à la faculté de médecine ; ça se passe mal parce que dans tous les métiers de tout temps, il y a de la misogynie … son père finit par faire un sermon aux carabins et c’est terminé, elle n’a plus besoin d’affronter leurs préjugés ? Hyper paternaliste et angélique, comme vision des choses ! ^^’ )

C’est bien d’avoir tenté d’évoquer la difficulté de mener des études quand on est noir, quand on est une femme, la difficulté de faire le deuil de sa mère ou l’anxiété de devenir fille-mère … Mais je n’ai pas apprécié le traitement de ces sujets, d’autant plus que j’ai eu ce sentiment en regardant qu’on avait vraiment affaire à une bande d’aristo privilégiés, qui geignent sur leurs petites misères de privilégiés, mais qui ont quand même du champagne au petit déj’ et qui changent de costume toutes les heures. On va dire que je ne suis sûrement pas le public cible. ^^

J’ai entendu dire que c’était une sorte de Bridgerton espagnol. N’ayant pas vu Bridgerton, je ne peux pas juger.

———–

De mon côté, je viens d’engloutir la mini-série Une amitié dangereuse sur france.tv

Marie de Rohan, une aristocrate énergique et malicieuse, devient Surintendante de la maison de la reine Anne d’Espagne, épouse de Louis XIII. Après quatre ans de mariage, les jeunes époux peinent à produire un héritier, ce qui fragilise la monarchie. Marie va devoir réconcilier le couple royal et mener bon nombres d’intrigues contre le parti dévot, la reine-mère et Richelieu en tête. Mais ses frasques et ses intrigues pourraient bien lui faire perdre la tête …

J’ai bien aimé. Ça m’a permis de découvrir ce personnage de Marie de Rohan que je ne connaissais pas. Et quel plaisir de se trouver une petite série française en costume avec des intrigues de cour et des manœuvres politiciennes ! La mise en scène est parfois un peu surprenante (le réal adore les plans circulaires ^^’), mais ça donne aussi des plans en contreplongée forts beaux.

"Si l'enfer est éternel, le paradis est un leurre !"

[Liloo75 Fléau des AutresPosts : 3832]

Eridan wrote:

J’ai regardé cette série aussi, et … je n’ai pas aimé ! ^^’

Il y a bien tout ce que tu décris, et au début, j’ai trouvé ça super accrocheur (j’adore qu’un personnage s’adresse à moi, ça crée une forte complicité très accrocheuse !) sauf qu’au final, j’ai trouvé le traitement des sujets assez mièvre : tout est trop facile, tout se termine bien parce que tous les personnages importants sont finalement des gentils très gentils ; les sujets ne sont pas vraiment traités, les problèmes pas vraiment résolus … ou plutôt, ils sont esquivés, parce qu’au final, les filles qui redoutent leur père ont sûrement le père le plus ouvert d’esprit qu’on puisse s’imaginer !

Comme l’on dit dans une certaine série, ce que tu écris « n’est pas faux ».

Disons, que c’est une série qui peut être divertissante quand tu n’as pas envie de te prendre la tête et que tu as besoin d’oublier tes soucis quotidiens.

Eridan wrote:

On va dire que je ne suis sûrement pas le public cible. ^^

Oui, il en faut pour tous les goûts !

Pour la comparaison avec La Chronique des Bridgerton, non, nous ne sommes pas sur le même registre. J’ai vu les deux, et il est certain qu’avec les Bridgerton, nous sommes un cran au-dessus du point de vue des personnages et des intrigues.

- De quels diables de dieux parlez-vous, lady Catelyn ? (…) S’il existe vraiment des dieux, pourquoi donc ce monde est-il saturé de douleur et d’iniquité ?
- Grâce aux êtres de votre espèce.
- Il n’y a pas d’êtres de mon espèce. Je suis unique.

[Nymphadora VervoyantPosts : 8722]

Petit retour sur les derniers visionnages séries ^^

The Pitt (Max) : j’ai regardé religieusement la série semaine après semaine, et pour le coup, gros coup de cœur ❤️ faut aimer les séries médicales (et pas être révulsé par le sang parce qu’elle y va, vraiment c’est une série graphique) mais le propos est passionnant et actuel. C’est haletant, touchant,… Urgences dans ses belles années est de retour, et moi ça me ravit complètement.

Sirens (Netflix) : une mini série avec Julianne Moore, Milly Alcock (notre petite Rhaenyra ❤️) et Meghann Fahy. Une série de gens riches beaux et cinglés dans une belle maison. Ma foi ça se regarde. C’est un peu bizarre, il y a un mélange de satire et de trucs complètement « what the fuck » et certains moments très premier degré, j’ai eu du mal avec le rythme et le délire… Dans le même genre, j’ai préféré Perfect Couple et son intrigue whodunnit mais pour un weekend ça passait bien.

Astérix et Obélix – le combat des chefs (Netflix) : J’ai mis du temps à m’habituer aux voix parce que forcément j’ai grandi avec les anciennes. Mais dans l’ensemble j’ai trouvé le tout assez fidèle à l’esprit Astérix. On s’amuse (le moment « panono » m’a tuée), je kiffe toujours l’humour Chabat… Je ne vais pas en demander beaucoup plus. Je pense que évidemment la nostalgie parle, ça sera jamais MON Astérix (pour moi, le pudding à l’arsenic de Asterix et Cléopâtre et le laisser-passer A38 des Douze Travaux sont à jamais indépassables de toute façon ^^) Mais c’est pas grave, déjà on n’a pas un navet comme celui en Chine ne boudons pas ^^

Euphoria (Max) : Histoire de découvrir les séries hype de HBO, j’ai donc tenté Euphoria. J’avoue que je sais pas trop quoi en penser. Je me sens un peu sale d’avoir apprécié des trucs dans cette série qui est ultra voyeuriste et qui esthétise beaucoup la drogue, l’alcool, la violence, avec un male gaze assez gênant en plus (et un réalisateur toxique a priori). Et un scénario qui a en vrai rien de crédible : bonjour la vie d’ados… Mais en même temps, les acteurices sont vraiment excellents, il y a des scènes ultra marquantes, visuellement incroyables (les maquillages sont absolument dingues), avec une BO excellente… et je comprends la hype du coup.

~~ Always ~~

[R.Graymarch BarralPosts : 10582]

Common side effects, saison 1, série d’animation dont le style ressemble beaucoup à Scavengers reign

Une sorte de hippie découvre un champignon qui pourrait tout soigner. Il se dit que cela pourrait mettre à bas toute l’industrie pharmaceutique qui n’est pas vraiment vertueuse. Donc il s’attire des ennuis

Dix épisodes de 22 minutes avec une jolie galerie de personnages, parfois très farfelus. L’intrigue est plaisante, ça se regarde bien.

Une saison 2 est annoncée

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[Eridan VervoyantPosts : 6508]

R.Graymarch wrote:

Common side effects, saison 1, série d’animation dont le style ressemble beaucoup à Scavengers reign

Et pour cause, les deux séries ont été créé par Joseph Benett, un réal qui a une passion pour les perso marginaux et un style graphique atypique. ^^

"Si l'enfer est éternel, le paradis est un leurre !"

[Aerolys Fléau des AutresPosts : 3173]

J’ai fini la saison 3 de Squid Game il y a quelques jours.

Comme les deux premières saisons, j’ai beaucoup aimé (la tension, l’attachement pour certains personnages (et la haine pour d’autres),…).

Malgré ça, j’ai été un peu déçu par la fin. C’est très fataliste donc ça reste dans l’idée générale de la série mais, d’un autre côté, j’ai eu l’impression que les événements des deux dernières saisons n’ont eu aucun impact sur l’univers de la série. J’ai eu cette sensation que peu importe que les événements des saisons 2 et 3 aient eu lieu ou non, le résultat est le même.

Toutes les plus belles histoires commencent par une brique sur le pied.

Si Theon ouvre un bar, c'est le Baratheon.

Spoiler:

[R.Graymarch BarralPosts : 10582]

The Bear saison 4

On reprend juste après la saison 3. C’est moins maniéré et vide qu’une partie de la saison précédente (le montage me parait mieux fait notamment). Acteurs et BO toujours au top. Et pourtant… ça avance assez peu. Y a une grosse décision qu’on attend pendant des plombes. On nous serine « every second counts » mais un protagoniste peut se permettre, à quelques heures d’une ouverture cruciale, de faire un tour de plusieurs heures alors que c’est pas hyper urgent.

Y a de jolis moments, dont un sur Syd, ou un autre sur « l’épisode fleuve de la saison » où on prend un peu l’air (pourquoi pas ?) pour voir autre chose. On fait un petit tour du côté de The Beef, y a vraiment des trucs sympas. Mais aussi pas mal de remplissage et de fausse tension

Spoiler:

le compte à rebours qui ne sert à rien cette saison

Et un final, bear-esque.

La série reste bonne (j’aime toujours autant Marcus) mais je trouve que la nouveauté s’est essoufflée et qu’on rallonge un peu la… sauce… pour rien

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[Lestival Exterminateur de SauvageonsPosts : 921]

Pistol, mini-série réalisée par Dany Boyle et qui aurait aussi pu être soutitrée « The rise and fall of the Sex Pistols ».

On y retrouve Thomas Brodie-Sangster en Malcolm McLaren, leur manager, révolutionnaire de salon. Il nous montre que choquer l’Angleterre bien pensante c’est bien mais si on peut gagner de l’argent aussi, c’est encore mieux. Il y a aussi Maisie Williams : Jordan, vendeuse à la boutique SEX Vivienne Westwood.

Le scénario est basé sur l’autobiorgraphie du guitariste Steve Jones. Ce qui fait que ça tourne un peu trop autour de sa vision. J’ai trouvé que sa relation avec Chrissie Hynde (qui fondra plus tard les Pretenders) prennait un peu trop de temps d’écran au détriment d’autres personnages du Bromley Contingent, il y a plain de noms au générique mais ils ne font que de la figuration.

Je ne suis pas un grand fan du groupe mais je connais assez leur histoire et j’ai vu des photos et vidéos de l’époque. J’ai trouvé les acteurs qui jouent Johnny Rotten et Sid Vicious assez convaincaints.

Orson le Couturier [OLC] et d'autres avant lui dans le jeu Chanson d'Encre et de Sang.
Chaton officiel du temple des Grâces dans DOH 6, envoyé spécial du Daily Stark dans DOH 8
Brynden Tully au Casting 2019

Spoiler for NOARLAAAK !!!

[Lapin rouge Fléau des AutresPosts : 4628]

Lestival wrote:

Pistol, mini-série réalisée par Dany Boyle et qui aurait aussi pu être soutitrée « The rise and fall of the Sex Pistols ».

Merci pour cette info. Il faudra que je me débrouille pour voir ça un de ces jours (quand j’aurai résilié mon abonnement à Max ?).

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