Ralf le Boiteux

De La Garde de Nuit
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V.O. : Ralf "the Limper"

Ralf le Boiteux est un capitaine fer-né qui, comme l'indique son surnom, boite. Son boutre est le Lord Quellon[1].

Dans ACOK[modifier]

Ralf le Boiteux est l'un des hommes de Victarion Greyjoy lors de la prise de Moat Cailin[2].

Dans AFFC[modifier]

Après la mort du roi Balon Greyjoy, Ralf pousse Victarion Greyjoy à réclamer le Trône de Grès[2] et est d'ailleurs l'un de ses champions lors des états généraux de la royauté[1].

Après l'élection d'Euron Greyjoy, Ralf le Boiteux participe à l'assaut mené contre les îles Bouclier par les Fer-nés. Il est l'un des convives du banquet se tenant ensuite à Houëttlord durant lequel il félicite Victarion pour la victoire qu'il vient de remporter. Il manifeste ensuite son opposition au plan du roi Euron qui souhaite envoyer sa flotte dans la baie des Serfs pour s'emparer des dragons[1].

Dans ADWD[modifier]

Lors du voyage devant l'amener jusqu'à la reine Daenerys Targaryen, Victarion Greyjoy divise sa flotte afin d'éviter de trop grosses pertes dues à d’éventuelles tempêtes et confie un tiers des bateaux à Ralf le Boiteux. Partant des Degrés de Pierre, leur point de ralliement se situe aux abords de l’île des Cèdres, à l’entrée de la baie des Serfs. L'escadre commandée par Ralf, composée des bateaux les plus lourds et les plus lents, prend la route de Lys afin d'y revendre au passage les prisonniers de guerre[3].

Sur les trente-trois navires dont Ralf a la charge, seuls quatorze sont finalement présents au rendez-vous. Parmi eux, on trouve le Lord Quellon, la Veuve Blanche, le Lamentation, la Désolation, le Leviathan, la Dame de Fer, le Vent de la Faucheuse et le Marteau de Guerre. Ils ont rencontré trois violentes tempêtes ainsi que des vents violents aux abords de Valyria. Amer, Ralf accuse le roi Euron Greyjoy de les avoir envoyés au bout du monde afin de se débarrasser de Victarion. Celui-ci le frappe alors au visage à deux reprises pour ces paroles et pour la perte des navires, le menaçant de lui clouer la langue au mât[3].

Notes et références[modifier]