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R.Graymarch, le il y a 6 jours et 19 heures.
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30 mai 2025 à 0 h 31 min #210925
Daniel
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Bonjour à tous. Moi j’ai vu Anora la semaine dernière, le dernier Sean Baker. L’actrice principale Mikey Madison y est incroyable ; elle porte le film à bout de bras avec une intensité dingue. C’est cru, drôle, profondément touchant… Baker a ce talent rare pour filmer les marges de l’Amérique sans jamais tomber dans le misérabilisme. Deux heures et demie qui filent sans qu’on s’en rende compte.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 3 mois par
R.Graymarch. Raison: titre en italique
31 mai 2025 à 0 h 05 min #210937R.Graymarch
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La Venue de l’avenir de Cédric Klapisch
Comme indiqué sur le message de son dernier film, j’ai beaucoup aimé Klapisch.. et puis c’est devenu moins bien. Mais En corps, m’a redonné espoir (Salade grecque, moins)
Là on a un film avec 2 timelines : une de nos jours où une trentaine de personnes « descendant de la même ancêtre » (et ne se connaissant pas) sont conviées pour décider de ce qu’ils font de la ruine normande (y a un projet de construction). Oui, c’est un départ de scénario de Cthulhu. Et l’autre timeline, c’est justement la vie de cette ancêtre âgée de 21 ans vers 1895.
J’ai trouvé ça moyen, malgré de jolis moments. Faut dire que je ne suis pas convaincu de Suzanne Lindon et elle porte toute la partie « 1895 ». Pas vraiment convaincu par le who’s who de tous les gens connus rencontrés même si je comprends pourquoi c’est là. J’ai préféré la partie contemporaine avec ces 4 représentants, très archétypaux, qui apprennent à se connaître. Des fois, c’est pas vraiment subtil quand on compare la « vilaine » influenceuse futile et sans cervelle, à la « gentille » artiste guitare+voix, bien dans ses baskets. Il reste quand même de jolis moments, une avec Zinedine Soualem qui est très émouvant. Et Pomme qui est très juste. Le rapport entre un grand-père et son petit fils aussi, ainsi que la « création » d’une famille (thème très klapischien). Ca reste mince
EDIT : le passage entre les époques est pas si mal fait mais je doute de l’intérêt du truc (Lone Star de John Sayles, c’est mieux). Probablement pour voir l’enquête en 2025 sur Adèle, en parallèle de son parcours que l’on « voit ». 1895 parait aussi bénéficier d’une vision très fantasmée (le who’s who précédemment mentionné, mais aussi les bordels avec ses prostituées au grand coeur, les gens qui vous hébergent, donnent du boulot très facilement…)
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Cette réponse a été modifiée le il y a 3 mois par
R.Graymarch.
Je sers la Garde et c'est ma joie. For this night, and all the nights to come
MJ de Chanson d'Encre et de Sang (2013-2020) et de parties en ligne de jeu de rôle
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DOH : #TeamLoyalistsForeverUntilNow. L’élu des 7, le Conseiller-Pyat Pree qui ne le Fut Jamais31 mai 2025 à 9 h 37 min #210938Liloo75
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La Venue de l’avenir de Cédric Klapisch
Je l’ai vu également, jeudi dernier. Ce n’est pas le film de l’année, mais j’ai passé un bon moment.
Il y a des scènes assez émouvantes, qui fonctionnaient bien pour moi.
J’ai beaucoup aimé la façon de filmer Paris. Les transitions passé/présent étaient très réussies.
Il reste quand même de jolis moments, une avec Zinedine Soualem qui est très émouvant. Et Pomme qui est très juste.
+1
- De quels diables de dieux parlez-vous, lady Catelyn ? (…) S’il existe vraiment des dieux, pourquoi donc ce monde est-il saturé de douleur et d’iniquité ?
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- Il n’y a pas d’êtres de mon espèce. Je suis unique.10 juin 2025 à 11 h 51 min #211092Liloo75
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Hot Milk de Rebecca Lenkiewicz.
Rose (Fiona Shaw) est en fauteuil roulant depuis des années. Sa fille, Sofia (Emma Mackey), vit avec elle et l’aide dans tous les gestes de la vie quotidienne.
Ensemble, elles se rendent en Espagne, où Rose consulte un professeur (Vincent Perez) réputé pour ses méthodes peu orthodoxes (et ses tarifs exorbitants).
Le film retrace le séjour de Rose à Almeria, les rencontres de Sofia avec les quelques habitants qui résident près du logement qu’elles louent, et les histoires de famille qui se dessinent petit à petit. Il y avait de bonnes idées, je pense que cela aurait pu être traité autrement.
Le film m’a paru long (pourtant il ne dure que 1H40), je me suis ennuyée (j’avais deviné une partie de l’intrigue assez vite). Les acteurs sont bons, mais à par cela…je ne recommande pas ce film.
Peut-être est-il plus adapté à un public qui aime le contemplatif, bref, pas pour moi ^^
Spoiler:Et le film ne finit pas … c’est assez dérangeant, j’ai entendu le public se plaindre dans la salle- De quels diables de dieux parlez-vous, lady Catelyn ? (…) S’il existe vraiment des dieux, pourquoi donc ce monde est-il saturé de douleur et d’iniquité ?
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- Il n’y a pas d’êtres de mon espèce. Je suis unique.18 juin 2025 à 14 h 34 min #211188Nymphadora
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Life of Chuck de Mike Flanagan avec notamment Tom Hiddleston, adapté d’une nouvelle de Stephen King.
Un film très charmant. Totu en poésie. Mais sur lequel je pense que ça vaut le coup de ne rien savoir avant de le voir : le plaisir de la découverte du thème profond du film est une grosse partie de l’expérience.La Venue de l’avenir de Cédric Klapisch : mif-mouf. Il y a de belles images de Paris, et Pomme, mais au dela de ça, j’ai trouvé ça poussif et très très gros sabots.
Partir un jour, d’Amélie Bonnin. J’ai beaucoup aimé cette comédie musicale plus profonde qu’il n’y paraît. Juliette Armanet est très bonne dans le premier rôle, et ça marche très bien, avec beaucoup de charme et une approche du désir d’enfant qui change un peu. Je trouve sourtout ça totalement fou et jouissif que ça ait fait l’ouverture de Cannes et que les journalistes ciné d’Hollywood aient eu droit à du K-Maro et Axelle Red xd
~~ Always ~~
23 juin 2025 à 20 h 03 min #211244R.Graymarch
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Life of Chuck de Mike Flanagan
J’y suis allé à l’aveugle et je n’ai rien compris
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DOH : #TeamLoyalistsForeverUntilNow. L’élu des 7, le Conseiller-Pyat Pree qui ne le Fut Jamais24 juin 2025 à 8 h 44 min #211251DNDM
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Life of Chuck de Mike Flanagan avec notamment Tom Hiddleston, adapté d’une nouvelle de Stephen King.
Un film très charmant. Totu en poésie. Mais sur lequel je pense que ça vaut le coup de ne rien savoir avant de le voir : le plaisir de la découverte du thème profond du film est une grosse partie de l’expérience.Life of Chuck de Mike Flanagan
J’y suis allé à l’aveugle et je n’ai rien compris
XD
Auteur de "Les mystères du Trône de Fer", tome I, co-auteur du tome 2: https://www.lagardedenuit.com/forums/sujets/les-mysteres-du-trone-de-fer-les-mots-sont-du-vent/ & https://www.lagardedenuit.com/forums/sujets/les-mysteres-du-trone-de-fer-2/
Présentation & autres pub(lications) : www.lagardedenuit.com/forums/sujets/presentation-dndm/24 juin 2025 à 10 h 06 min #211257Schrö-dinger
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Life of Chuck de Mike Flanagan avec notamment Tom Hiddleston, adapté d’une nouvelle de Stephen King. Un film très charmant. Totu en poésie. Mais sur lequel je pense que ça vaut le coup de ne rien savoir avant de le voir : le plaisir de la découverte du thème profond du film est une grosse partie de l’expérience.
Life of Chuck de Mike Flanagan J’y suis allé à l’aveugle et je n’ai rien compris
XD
J’ajoute mon grain de sel sur Life of Chuck de Mike Flanagan en disant que j’ai adoré le film ! Très beau et touchant, ça a bien marché sur moi. Et fun fact, j’avais lu la nouvelle de Stephen King et j’avais pas aimé (alors que que je suis bien fan de l’auteur), comme quoi !
Le Kraken à la plage (ah-ouh, cha cha cha)
29 juin 2025 à 20 h 49 min #211316Aerolys
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TranslatorJ’ai vu Amélie et la Métaphysique des tubes cette après-midi. J’ai beaucoup aimé (au point où je pense emprunter le livre dont il est tiré la semaine prochaine à la bibliothèque).
Il y a certains points qui m’ont fait penser à de l’autisme chez Amélie (mais, je préfère prendre des pincettes avec ça (entre les clichés sur l’autisme et le fait que je me base aussi sur mon propre cas, il y a de fortes chances pour que je tape à côté (même si j’ai cru lire que Amélie Nothomb se déclarait autiste (si elle l’affirme, je la crois))).
Toutes les plus belles histoires commencent par une brique sur le pied.
Si Theon ouvre un bar, c'est le Baratheon.
Spoiler:12 juillet 2025 à 21 h 49 min #211496R.Graymarch
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En première ligne (Heldin) de Petra Volpe (qui avait réalisé L’Ordre divin/Les Conquérantes/Die göttliche Ordnung)
Floria (Leonie Benesch, oui celle de La Salle des profs) est infirmière de nuit dans un hôpital suisse. On suit une de ses nuits alors que son service est en sous effectif
On est limite dans le champ du documentaire car on a une « tranche de vie » plutôt qu’un film avec une intrigue. C’est cohérent avec le propos du film qui est de montrer ce qu’il se passe et de dire qu’on manque de soignants (et que beaucoup démissionnent très vite). Benesch est quasi de tous les plans et sa maîtrise des gestes est impressionnante, on croit (enfin moi j’y connais rien^^) qu’elle est infirmière.
Je me suis demandé un peu où on allait mais la réalisatrice noue des fils et cela prend beaucoup de sens vers la fin, quand on connait mieux les protagonistes. Ca s’approche (un peu) du thriller à force sur des trucs du genre « mais ça fait combien de temps qu’elle a dit qu’elle apporterait un analgésique à une patiente ?? »
Enzo, film de Laurent Cantet, réalisé par Romain Campillo à la mort de ce dernier
A 16 ans, Enzo issu d’un milieu très aisé du sud-est de la France mais a du mal avec l’école alors il a choisi de faire un CAP Maçonnerie où il n’est pas très bon mais côtoie des ouvriers, notamment ukrainiens.
C’est un film bizarre car le pitch de base (jeune individu qui cherche sa place, rapport de classe) fait très Cantet, mais la suite qui est davantage dans l’émotion fait plus penser à Campillo. Avantage ou inconvénient, je ne sais pas vraiment mais ça rend l’exercice intéressant et… périlleux.
Enzo n’est pas un personnage bien sympathique (et ses parents sont ultra compréhensifs, et aussi assez inquiets quant à son avenir et à ce qu’il veut). Son interaction avec les Ukrainiens et l’écho de la guerre là bas, et, encore, sa « place » dans le groupe et dans le monde, est plutôt bien… mais je trouve qu’il manque quelque chose pour que j’adhère complètement.
La photo et les décors sont somptueux
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DOH : #TeamLoyalistsForeverUntilNow. L’élu des 7, le Conseiller-Pyat Pree qui ne le Fut Jamais13 juillet 2025 à 22 h 06 min #211502R.Graymarch
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Rapaces, 2e film de Peter Dourountzis (après Vauriens en 2020, pas vu)
On suit une équipe de journalistes de Détective (ouais….) qui est sur des cas sordides. Notamment un père et sa fille stagiaire (Sami Bouajila et Mallory Wanecque) sur la disparition d’une jeune fille aspergée à l’acide.
Ca commence assez mouaif mais le final permet d’oublier tout ça et d’être sur une très bonne impression. Le début est un peu lent et part un peu dans tous les sens mais a le mérite de bâtir des relations entre les journalistes, leur métier, les liens. La 2e moitié est bien plus enlevée avec une excellente montée/gestion de la tension. Au final, dans le genre thriller, on reste sur une impression bien solide, comme je l’écrivais plus haut, grâce à la fin
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DOH : #TeamLoyalistsForeverUntilNow. L’élu des 7, le Conseiller-Pyat Pree qui ne le Fut Jamais13 juillet 2025 à 22 h 55 min #211503Elthaïn
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Pareil, et j’ai tellement apprécié que je suis parti en pleine séance, chose que je ne fais que très rarement.
Sinon, je sors du dernier film-événement : Superman, par James Gunn. Alors, globalement j’ai bien apprécié (pour un film de super héros – c’est bien mieux que la plupart de ceux que j’ai vu ses dernières années). Le seul hic : c’est un film de James Gunn, et j’ai l’impression qu’il s’est auto-restreint dans son humour décapant. Et ça m’a manqué, oui. Je ne sais pas si le mélange des deux serait passé, et je me demande si Gunn a eu peur du résultat, mais au final, ça donne un bon Superman mais un film de Gunn honnête.
19 juillet 2025 à 22 h 05 min #211541R.Graymarch
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(étonnant de lire « Pareil » pour un film que j’ai bien aimé alors que tu es parti en pleine séance…)
13 jours, 13 nuits de Martin Bourboulon, tiré du livre de Mohamed Bida
15 août 2021, les Talibans entrent à Kaboul. L’ambassade française est la dernière à être encore là. Des centaines de gens convergent vers elle pour être évacués. Mo, agent de police chargé de la sécurité de l’ambassade doit gérer ça
C’est un « gros » film à l’échelle française et franchement c’est très efficace. Pas un film extraordinaire mais la tension est bien gérée et on se demande quelles seront les pertes. Le film a peut-être un quart d’heure de trop cela dit. Heureusement, Roschdy Zem est au top dans le rôle principal
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DOH : #TeamLoyalistsForeverUntilNow. L’élu des 7, le Conseiller-Pyat Pree qui ne le Fut Jamais22 juillet 2025 à 23 h 15 min #211553Elthaïn
- Éplucheur avec un Économe
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Ah, désolé, je parlais pour Life of Chuck, mas j’ai dû m’embrouiller dans les messages.
J’ai aussi beaucoup aimé 13 jours, 13 nuits, que je trouve aussi efficace. On lorgne vers les grosses productions américaines, sans entrer dans la surenchère non plus. Le plus intéressant étant que c’est basé sur une histoire et des personnages réels.
Sinon, j’ai vu le dernier film d’Ari Aster, Eddington. Un peu difficile à classer, je l’ai néanmoins trouvé très intéressant dans ce portrait d’une petite ville du Nouveau-Mexique qui vit tous les dilemmes et travers que le pays peut traverser ses dernières années.
Un beau casting de surcroit !27 juillet 2025 à 20 h 23 min #211592R.Graymarch
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Rattrapage (faiblard) de films français de 2025
Le Secret de Khéops de Barbara Schulz
Un égyptologue (Fabrice Lucchini) pense que le trésor de Khéops est à Paris. Donc, enquête !!
Lucchini 2025 en Indiana Jones ? Ouais, je sais, ça pique. Au fond c’est pas aussi pire qu’on aurait pu le craindre. Mais ça reste quand même plan plan. Si vous détestez Lucchini, passez votre chemin car il en fait des caisses. Sinon, ça passe
Prosper de Yoann Gloaguen
Un chauffeur VTC loseur (Jean-Pascal Zadi) se retrouve par hasard à prendre en charge une personne (connu pour être un sapeur), ce qui perturbe sa vie. J’en dis pas plus
C’est bizarre car c’est une sorte de comédie pas ultra drôle avec du fantastique un peu loufoque. Le propos n’est pas extraordinaire, mais l’environnement est sans doute ce qui fait l’originalité du film : le phénoménal de la sape, dans la communauté noire de Paris. J’aurais aimé que cela soit plus abouti
Mercato de Tristan Séguéla
Driss (Jamel Debbouze) est un agent de footballeurs qui a connu de meilleurs jours. Le mercato estival se termine bientôt et il doit gérer des problèmes financiers, un fils ado, un divorce et des joueurs qui ne l’aident pas vraiment.
C’est un thriller assez solide mais un peu trop long. (Apparemment c’est ultra proche de Uncut Gems des frères Safdie , 2019). Jamel est très convaincant et son fils Milo Machado-Graner est toujours excellent. Alors ça ne va pas vraiment contre les clichés sur le monde du foot (joueurs quasi enfants, pognon partout, belles nanas qui les chassent etc) mais dans le genre c’est bien. Si vous n’aimez pas le foot, on en voit très peu (mais on en parle tout le temps)
Le système Victoria de Sylvain Desclous (j’aurais bien aimé voir De Grandes espérances), tiré du roman du même nom d’Éric Reinhard, 2011 (pas lu)
David (Damien Bonnard) est un architecte reconverti en chef de chantier. Il gère la construction d’une énorme tour et cela se passe mal. Un jour il rencontre Victoria (Jeanne Balibar)
Autant j’ai adoré la partie BTP avec les négociations, les soucis etc etc, autant la partie avec Jeanne Balibar, j’ai trouvé ça… un peu creux (ça rend peut être mieux en livre). Donc mitigé
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DOH : #TeamLoyalistsForeverUntilNow. L’élu des 7, le Conseiller-Pyat Pree qui ne le Fut Jamais27 juillet 2025 à 22 h 47 min #211594Liloo75
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J’ai vu Les Quatres Fantastiques : Premiers pas, de Matt Shakman.
Dans un univers alternatif (Terre-828) les Quatres Fantastiques sont devenus les super-héros des terriens. Ce sont eux qui sont chargés de protéger l’humanité en cas de danger.
Tout commence bien, avec l’annonce de la grossesse de Susan (dotée du pouvoir d’invisibilité et de manipuler les champs de force), l’épouse de Reed (l’homme élastique et le scientifique du groupe). Leurs deux autres comparses : Johnny Storm (la torche humaine), le frère de Susan, et Ben Grim (la Chose) sont ravis pour eux. Tous se demandent si l’enfant aura des super-pouvoirs ?
Toutefois, ils vont rapidement être rappelés à leur devoir, car quelques mois plus tard, une Surfeuse d’Argent vient leur annoncer la fin prochaine de la Terre, avec l’arrivée de Galactus, une entité extraterrestre dévoreuse de mondes…
Le scénario est assez classique, la Terre est en danger et nos héros vont devoir démontrer leur capacité à sauver le monde.
J’ai trouvé le film plaisant à suivre, et assez fidèle aux comics d’origine. Il n’y a pas de grosses surprises, mais les personnages sont plutôt bien campés (j’ai réussi à oublier que Pedro Pascal était présent avec sa moustache 😉), et certains se révèlent plus fins qu’il n’y paraît au premier abord.
Même si Susan et Reed sont les principaux protagonistes du film, on nous dévoile également les difficultés de mener une vie normale pour Ben Grim et les talents cachés de Johnny, qui n’est pas seulement le playboy du groupe.
Chez les antagonistes, j’ai bien aimé le personnage de Shalla-Bal et sa relation ambivalente avec Johnny Storm.
C’est vous aimez les héros en pyjamas et le divertissement, je vous recommande le film. Il bénéficie de gros moyens techniques, les effets spéciaux sont réussis. On y croit…le temps de la séance.
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Liloo75.
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- Il n’y a pas d’êtres de mon espèce. Je suis unique.28 juillet 2025 à 11 h 19 min #211603Nymphadora
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Un petit trio Pedro Pascal pour commencer :
Materialists, de Celine Song avec Dakota Johnson, Pedro Pascal et Chris Evans. Une comédie romantique pas hyper romantique, plutôt cynique sur l’amour, où l’on suit une jeune femme ambitieuse dans un triangle amoureux. C’est un peu molasson mais ça se regarde, j’ai trouvé qu’il y avait un côté assez moderne dans cette vision de la comédie romantique.
Eddington de Ari Aster avec Joaquin Phoenix, et Pedro Pascal. 2020, début de l’épidémie de Covid à Eddington au Nouveau-Mexique. On suit la petite ville, et son shérif, qui vrillent progressivement. J’ai trouvé le film très oppressant, il appuie sur tous les ressorts qui expliquent la polarisation de la société américaine (et la nôtre) et c’est donc angoissant. Le tout avec une volonté qui semble être de satire, mais un dosage qui m’a perdue : je pense que la proximité du sujet fait que le scénario manque de recul et que du coup appuyer où ça fait mal en trouvant les bons curseurs c’est compliqué. La fin part complètement trop loin et m’a totalement fait décrocher. Mais d’un autre côté, quand ça appuie avec justesse, ça marche très bien. Et les acteurs (Joaquin Phoenix en tête) sont vraiment bons.
Les Quatres Fantastiques : Premiers pas, de Matt Shakman avec Pedro Pascal, Vanessa Kirby. Je serai beaucoup moins indulgente que Liloo, j’ai trouvé ce film consternant. C’est mièvre, c’est interminable, évidemment ultra prévisible, c’est moche (franchement les effets spéciaux piquent les yeux), les personnages sont culcul et molassons. Vraiment passé les 10 premières minutes où l’esthétique 70’s m’a charmée, j’ai commencé à regarder ma montre.
Et comme je vois parfois des films sans Pedro (mais pas beaucoup xD il est vraiment partout en ce moment xD) :
Superman de James Gunn avec David Corenswet. Une réussite. J’ai trouvé le film très efficace, vitaminé et prenant, en plus d’être très actuel. Clairement bien meilleur que le Marvel d’à côté donc ^^
F1 de Joseph Kosinski avec Brad Pitt. Les voitures c’est pas ma came. Mais ce blockbuster à l’ancienne a très bien marché sur moi. J’étais dedans c’est pile ce qu’on attend de ce genre de film.
Avignon de Johann Dionnet avec Baptiste Lecaplain, Alison Wheeler. Une comédie romantique tout à fait charmante qui donne envie d’aller au théâtre. C’est frais, c’est adorable. Un petit bonbon.
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4 août 2025 à 23 h 52 min #211712R.Graymarch
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Rattrapage (faiblard) de films français de 2025 – bis
La vie devant moi de Nils Tavernier
Suite à la rafle du Vel d’hiv, un couple et sa fille se cachent dans un minuscule appartement pendant… longtemps
Tiré-d’une-histoire-vraie. Film assez inattaquable sur le fond (pourvu que ça dure^^). Mais pour le reste, c’est assez attendu, scolaire ? Ou alors je ne suis pas le bon public. Ca reste bien joué mais c’est pas évident de trouver des trucs à faire/dire qui soient intéressants à voir à l’écran
Mikado de Baya Kasmi
Un couple et ses deux enfants sont libres (ou marginaux) : ils vivent dans leur van sur les routes de Provence, se cachant des autorités. Suite à une panne, ils vont habiter chez Vincent, papa veuf, et son ado Théa, le temps que la pièce arrive. Leur ainée va voir ce que c’est d’avoir un chez soi, d’aller au collège, avoir des amis
Là aussi, c’est assez poussif pendant trop longtemps puis ça s’accélère à la fin. Encore une fois, les acteurs sont plutôt bons mais le script est maigrichon
Le Garçon de Zabou Breitman et Florent Vassault
Les deux réalisateurs achètent dans une brocante une boite à chaussures contenant des photos de famille. Ils se fixent sur un garçon étrange et vont mener l’enquête. On a donc trois films en un : lui va sur le terrain pour tenter d’avoir des informations, elle reçoit les infos et imagine ce que des acteurs pourraient en faire (puis le tourne) et enfin, on a les réflexions des deux co-réalisateurs sur l’avancée de leur enquête.
Ca commence bizarrement quand même : un individu banal, une famille lambda, des photos ordinaires. Mais le jeu de piste fonctionne, on se prend au jeu (perso j’ai préféré l’enquête que la reconstitution avec des acteurs), on apprend à connaitre ce gars, sa famille, ses amis, son existence. Ordinaire, mais comme nous tous. Un film assez singulier qui finalement a du charme et un côté novateur
Cassandre d’Hélène Merlin
Tiré-d’une-histoire-vraie. 1998, Cassandre, 14 ans, vit dans une famille assez bizarre : moitié militaire corsetée et moitié loufoque. La famille est clairement dysfonctionnelle mais elle ne s’en rend pas compte et se réfugie au club équestre où les gens sont bien plus sains (Guillaume Gouix, au top)
Le couple de parents est super bien incarné, même si ces personnes sont détestables, dérangeantes… (balancer des trucs hallucinants sur un ton badin, faut le faire). Toute l’ambiance dans la maison est assez pourrie, à juste titre. Néanmoins, dans l’histoire, même s’il y a une forme de pudeur ou délicatesse, il y a des maladresses ainsi que dans le ton. Du coup j’ai peur que ça passe un peu à côté
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Les Quatres Fantastiques : Premiers pas, de Matt Shakman avec Pedro Pascal, Vanessa Kirby. Je serai beaucoup moins indulgente que Liloo, j’ai trouvé ce film consternant. C’est mièvre, c’est interminable, évidemment ultra prévisible, c’est moche (franchement les effets spéciaux piquent les yeux), les personnages sont culcul et molassons. Vraiment passé les 10 premières minutes où l’esthétique 70’s m’a charmée, j’ai commencé à regarder ma montre.
C’est à mon tout d’avoir vu Les Quatre Fantastiques : Premiers pas.
A l’inverse, j’ai adoré que ce soit l’histoire, les personnages ou encore l’esthétique (je pensais que c’était aussi une esthétique 70′ mais en en parlant, on m’a dit que c’était plutôt une esthétique fin 50′, début 60′ (mais je chipote sans doute)).
Toutes les plus belles histoires commencent par une brique sur le pied.
Si Theon ouvre un bar, c'est le Baratheon.
Spoiler:10 août 2025 à 9 h 37 min #211780Liloo75
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A l’inverse, j’ai adoré que ce soit l’histoire, les personnages ou encore l’esthétique (je pensais que c’était aussi une esthétique 70′ mais en en parlant, on m’a dit que c’était plutôt une esthétique fin 50′, début 60′ (mais je chipote sans doute)).
En faisant des recherches, j’ai cru comprendre que le film est un hommage aux premiers comics sur les 4 Fantastiques, sortis en 1961.
C’est l’ambiance de cette époque que le réalisateur a cherché à restituer.
C’est plutôt réussi ^^
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- Il n’y a pas d’êtres de mon espèce. Je suis unique.10 août 2025 à 19 h 23 min #211788Eridan
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Je viens de voir l’un des meilleurs ghibli réalisé depuis longtemps … Et ce n’est pas un ghibli !
L’Imaginaire (Yaneura no Rajā) 2013, par le studio Ponoc, actuellement sur Netflix.
Amanda, une petite fille très imaginative, donne vie à Rudger, un ami imaginaire, avec lequel elle vit des aventures incroyables et merveilleuses. Personne d’autre qu’Amanda ne voit Rudger et celui se doute qu’arrivera un jour où Amanda l’oubliera et qu’il disparaîtra … Mais un problème plus garve survient : un homme appelé M. Bunting a repéré Rudger et veut mettre la main dessus. En tentant de lui échapper, Amanda est grièvement blessée et doit être hospitalisé. Rudger va devoir trouver un moyen de ne pas disparaître et de la retrouver avant que M. Bunting ne le rattrape.
Rien qu’à l’image, vous aurez peut-être reconnu le style graphique des ghibli … Sauf que ça n’en est pas : le studio Ponoc (à qui on doit aussi Mary et la Fleur de la sorcière 2017) est composé d’anciens de chez Ghibli, dont ils ont repris beaucoup de recette, à commencer par l’esthétique. D’autres éléments sautent aux yeux dans la narration : le début de l’errance de Rudger et le refuge dans la bibliothèque sont des citations directes de Chihiro, alors que la rencontre avec un guide chat évoque le royaume des chats. Le personnage d’Emily ressemble à une Dora la pirate jeune ^^ Il en ressort une œuvre, qui semble sans cesse faire des références, soit à Ghibli, soit à un autre monument de la pop culture (en vrac, j’ai pensé notamment à Gigi, Matrix, Star Wars, Toy Story, Vice et versa). Ce jeu des références ne lasse pas, car il n’empêche pas le film de raconter sa propre histoire, mêlant réel et imaginaire, moments touchants avec de vrais moments d’effroi, comme savent le faire les meilleurs ghibli. ^^
Au chapitre des critiques, les règles intrinsèques de ce monde ne sont pas toujours claires, alors que certains messages et certaines ficelles sont sur-expliquées. J’avais déjà ce reproche à adresser à Mary et la Fleur de la sorcière. C’est un peu dommage, mais ça ne gâche en rien le visionnage.
Une bonne expérience ! (Attention, certaines scènes et certains sujets ne conviennent peut-être pas aux spectateurs les plus jeunes.)
"Si l'enfer est éternel, le paradis est un leurre !"
11 août 2025 à 23 h 05 min #211804R.Graymarch
- Barral
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Rattrapage (faiblard) de films français de 2025 – ter
Reine mère de Manele Labidi (Un divan à Tunis était intéressant)
Années 1990, une famille originaire de Tunisie vit en France. Elle attend un logement social mais la mère ne veut pas quitter là où elle vit car l’école (catholique) est de bon niveau, l’endroit est paisible. Mais la petite a un ami imaginaire : Charles Martel
Assez inoffensif, un peu poussif… meh
L’attachement de Carine Tardieu
Alors qu’elle vient de perdre les eaux, une femme confie son fils de 5-6 à la voisine d’en face, une libraire célibataire. Plus tard, le père revient
Frustrant car il y a plein de trucs bien (notamment un regard très doux sur les personnages, ou le fait qu’on s’intéresse aux gens extérieurs de la famille, mais qui en font aussi un peu parti comme dans Les Enfants des autres) mais il manque quelque chose pour que cela fonctionne totalement, sur tous les arcs narratifs, et dans la durée. Reste la relation entre Elliot et la voisine qui est vraiment émouvante.
Dis moi juste que tu m’aimes d’Anne le Ny
Un triangle (rectangle ?) amoureux à Vannes, entre un audit dans une boîte, une personne qui revient après 20 ans à la Réunion etc
Le début fonctionne très bien mais ça s’enlise bien vite quand on arrive au « vrai » scénario. Bof
Spoiler:en plus tout repose sur le fait que le mari a été vu au bar sur la base d’un témoignage… c’est ultra bancal pour bâtir tout son scénario dessusDans la cuisine des Nguyen de Stéphane Ly-Cuong
Je pensais que c’était un film culinaire et en fait « pas du tout » (ou « pas seulement »). Yvonne Nguyen veut faire carrière dans la comédie musicale alors que sa mère veut qu’elle reprenne le restaurant familial. C’est beaucoup plus « chanté » que « mangeant » ce qui décoiffe un peu. Ca reste tout de même assez anecdotique (au casting, Thomas Jolly en librettiste ignare qui aligne les clichés et les erreurs, c’est rigolo)
Bergers de Sophie Derasp, tiré du livre D’où viens-tu, berger ? de Mathyas Lefebure (2006)
Mathyas quitte son job de bureau à Montréal pour devenir berger en Provence
Y a des moments faibles, c’est vrai. Mais la montagne est belle. Et rude aussi, car la vie de berger n’est pas une partie de plaisir et on ne devient pas berger si facilement. Dans le genre, c’est plutôt bien
Je sers la Garde et c'est ma joie. For this night, and all the nights to come
MJ de Chanson d'Encre et de Sang (2013-2020) et de parties en ligne de jeu de rôle
MJ par intérim de Les Prétendants d'Harrenhal (2024-), rejoignez-nous
DOH : #TeamLoyalistsForeverUntilNow. L’élu des 7, le Conseiller-Pyat Pree qui ne le Fut Jamais23 août 2025 à 23 h 26 min #211965R.Graymarch
- Barral
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Rattrapage (faiblard) de films français de 2025, mais pas que – quater
Le Choix de Gilles Bourdos (2024) remake de Locke de Steven Knight (2013), pas vu
Un soir au boulot sur un chantier de construction (grande mode en ce moment), Joseph part brusquement en voiture. En route, il appelle plein de gens.
Voilà c’est Vincent Lindon dans sa voiture. Tout repose sur lui (et les voix des autres gens qu’il appelle). C’est pas mal fait mais j’ai le sentiment que pour remplir le film (1h16) il a fallu ajouter des tas de péripéties peu crédibles (ou peu crédibles qu’elles arrivent en même temps). Je conseille plutôt The Guilty de Gustav Möller (2018) c’est vachement mieux
Jouer avec le feu de Delphine et Muriel Cousin adapté de Ce qu’il faut de nuit de Laurent Petitmangin, paru en 2020 (pas lu)
Pierre (encore Vincent Lindon), veuf cheminot vit avec ses deux grands garçons en Lorraine. Le plus jeune est brillant et est admis à la Sorbonne et l’aîné galère en métallurgie et a des amitiés très toxiques
C’est sans doute bourré de bonnes intentions (sauf si on est réac) mais alors que c’est poussif et manichéen. Allez on va dire que c’est sur un père qui ne sait pas comment faire face à son fils qui vrille
Rabia de Mareike Engelhardt (2024)
Années 2010, deux jeunes femmes quittent la France pour rejoindre Daesh en Syrie. Leur but ? Participer à la lutte en épousant un grand guerrier qui se bat pour l’islam
C’est pas mal, j’avoue que j’ai eu du mal à comprendre pourquoi de jeunes femmes partent volontairement pour s’emprisonner. Cela dit c’est arrivé (et pas qu’un peu), donc… Assez glaçant et c’est fait pour
Le Mélange des genres de Michel Leclerc
Simone, policière, infiltre un mouvement féministe car elle pense qu’il est lié à un meurtre
Oh là là… Sans doute de bonnes intentions mais alors ce rendu. Blaguer en 2025 sur les Violences sexistes et sexuelles en centrant l’intrigue sur de fausses accusations de vol, c’est au mieux très maladroit. Les répliques sont plutôt marrantes mais c’est dur de faire abstraction du fond. Ca pique
La Vallée des fous de Xavier Beauvois (2024)
Jean-Paul, restaurateur fan de régate qui a beaucoup de soucis, décide de faire le Vendée Globe en jeu vidéo depuis le bateau planté dans son jardin
C’est pas extraordinaire mais ça fonctionne
Lire Lolita à Téhéran d’Eran Rilkis (mentionné ici)
Bonnes intentions, sujet inattaquable mais c’est mou… donc ça reste mouaif
Je sers la Garde et c'est ma joie. For this night, and all the nights to come
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