[CES] Candidature de FIN au poste de Conseiller sans Affectation

[JN Terreur des SpectresPosts : 1899]

« Messire Chancelier,

Je fais appel à vous pour une demande de la plus haute importance. Ces dernières semaines ont été source de mûres réflexions, et j’en ai conclu que j’aimerais pouvoir intégrer le Conseil restreint pour servir plus efficacement et plus directement Sa Majesté.

Or, peu de postes sont disponibles, et je ne sais moi-même pas dans quel domaine mes conseils pourraient être pertinents.

J’en suis venu à la conclusion que j’excellais dans ma profession lorsque je n’avais pas d’affectation particulière, et que je ne faisais donc rien. Je me considère plus efficace lorsqu’aucune tâche ne m’est attribuée.

C’est pourquoi j’aimerais vous proposer de devenir Conseiller sans affectation, et ainsi, servir Sa Majesté même lorsque je ne fais rien.

Mes amitiés,

Ser Finn,
Capitaine du régiment Caron
Ménestrel de la page blanche »

[HRP: FIN est candidat au poste de Conseiller sans Affectation.]

« Edmond Dantès. Nice name. It’d look great in print, you know? Although ‘Le Comte de Monte-Cristo’ would make a better title for a novel. » - Dumas, Fate/strange fake

[EreksenBloqué Patrouilleur du DimanchePosts : 125]

Le Maréchal Gouverneur, depuis qu’il était Gouverneur n’écrivait plus lui-même son courrier, il n’en avait plus le temps.

Il appela son fidèle secrétaire, et ex honorable correspondant, Dagmer-Gueule-en-Huit.

– Prends note, je te prie pour le Capitaine des Caron… Non, les entêtes et titulatures tu feras cela après.  Tu sais comme j’aime me la péter, juste pour énerver :

« C’est avec plaisir que je vous nommerai Conseiller,

car si vous ne le saviez pas, j’ai toujours soutenu secrètement

vos ambitions. Et vous trouverez une bour… »

     –  Non, excuse-moi, cher Dagmer, mais je ne suis pas encore Chancelier. Brûle ça.

– J’allais te le dire ! ricana le fer-né.

- Je me trouvais auprès d'elle quand elle est morte, rappela Ned. Elle souhaitait revenir chez elle, ici, près de père et près de Brandon. » Il l'entendait encore retentir son cri - Promets-moi -, dans la chambre où l'odeur du sang se mêlait au parfum des roses. « Promets-moi, Ned ! »... il revoyait enfin la paume s'ouvrir et répandre, noirs et fanés, les pétales de roses.
(AGOT, Tome 1, Chapitre 5, Eddard)

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