[DOH10] Tour 3 – Assassinats

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  • #190099
    Ædianys
    • Exterminateur de Sauvageons
    • Posts : 852

    Les Loups de l’Hiver ont jusqu’à mardi 11 avril à 22h pour me faire parvenir leurs ordres par mail avec comme objet « [DOH10] Tour 3 – Assassinats ».

    Le compte rendu de cette phase pourrait avoir lieu plus tôt si tous les ordres ont été envoyés avant cette date, et que le Fantôme l’y autorise.

    S’ils sont encore vivants, Ben-les-Os, Abel, le Vervoyant et les éventuels Schlingues peuvent également me faire part de leurs demandes durant cette phase. Abel et le Vervoyant pourront faire leur demande plus tard dans le tour s’ils le souhaitent.

    La maison Manderly possède 22 influences et la maison Omble en possède 16.

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    « We princes make our careful plans and the gods smash them all awry. »
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    Spoiler for NOARLAAAK !!!

    #190151
    Jaqen
    • Fléau des Autres
    • Posts : 4199

    Bouuuuuuuu! Aouuuuuuuu!
    « L’âme de Jaqen errait dans les couloirs de Winterfell mais ses questions demeuraient sans réponse, les Gars du Batard avait-ils abandonné toute idée de voir Ramsay monter sur le trône de l’hiver?? Avaient-ils conscience que cette ascension n’était possible qu’avec l’aide du fantôme et de ses acolytes??? Qu’en protégeant ce fourbe tourne casaque ils avaient fortement atténué leurs dernières chances d’y arriver??? Si tel était le cas, si les fidèles du Batard de Fort Terreur voulaient conserver une infime chance de triompher de se sac de noeud de Winterfell, alors ils auraient fort intérêt à envoyer leur limier protéger le pauvre Sandrenal cette nuit!!! »

    #190159
    CorbeauRouge
    • Frère Juré
    • Posts : 52

    L’ambiance était pesante à la table des grands vassaux. Ces derniers avaient insisté pour que ser Denys vienne passer ce qui serait sans doute son dernier repas à leurs côtés. Mais le chevalier du Val n’avait que peu d’appétit tant son estomac était noué. Il se força bien à avaler quelques légumes par égard pour ses hôtes, mais le reste ne passait pas. Une fois le repas achevé, le grand vassal Alric se leva, souleva sa coupe de vin et clama : « A Tommen Baratheon, roi légitime des Sept Couronnes ! » et tous les convives burent de concert. Il fut suivi par le grand vassal Ulysse, qui lui porta un toast « A Roose Bolton, sire de Fort-Terreur et gouverneur du Nord ! ». Puis ce fut le tour du grand vassal Hiziel : « A tous nos vaillants soldats qui bravent le froid et qui bientôt vaincront le félon Stannis ! ». Enfin, Dame Feygirl se leva et proclama : « A ser Denys Stone, héros de Winterfell ! ». Il semblait à Denys avoir entendu un léger tremblement dans sa voix alors qu’elle prononçait ces mots. Il vida sa coupe et se leva à son tour :

    « Mes amis, ce fut un honneur de vous servir pendant ces quelques semaines. Je n’aurais jamais cru trouver ma place dans cette étrange contrée qu’est le Nord, et pourtant vous m’avez accueilli comme l’un des vôtres. La cause pour laquelle nous nous battons est juste, et nous dépasse tous. Dans quelques heures, je serai probablement mort, assassinés par ces traîtres, ces prétendus Loups de l’Hiver. Nulle chanson ne contera mon sacrifice, et dans dix ans je serai oublié, effacé de l’Histoire. Mais quand je serai mort, faites parvenir à mon père la plume écarlate laissée par mon protecteur, et faites-lui parvenir le récit de mes aventures nordiennes. Il a le droit de savoir qui j’étais. Adieu mes amis ! Continuez de combattre la félonie, et nous nous reverrons bientôt, le plus tard possible je l’espère, dans un monde plus juste ! »

    Une fois ses mots prononcés, le chevalier du Val regarda une dernière fois ses compagnons, se retourna et sortit de la pièce pour se diriger vers la cour. Là, il s’assit sur une bûche et contempla les étoiles qui s’allumaient une à une dans le ciel de Winterfell. Etrangement, il n’avait pas froid, comme si l’Etranger avait posé une couverture sur ses épaules en attendant de pouvoir recueillir son âme. Il laissa son esprit vagabonder au gré de ses souvenirs qui remontaient petit à petit à la surface. Les tournois d’abord, et leur gloire éphémère. Goëville ensuite, et lord Robert qui haranguait ses troupes avant de mener l’assaut sur les remparts. « C’est cela, un roi, se dit-il, un homme qui mène ses troupes au combat, qui est prêt à mourir parmi ses soldats, à mourir pour ses soldats. Toute ma vie je lui ai été fidèle, et voilà qu’aujourd’hui je meurs pour son fils. Tout chevalier devrait être prêt à mourir pour son roi, et ce soir mon devoir sera accompli. » Puis se furent d’autres souvenirs, plus anciens, qui remontèrent. Des souvenirs qu’il pensait avoir effacé. Des souvenirs qu’il aurait préféré avoir effacé. Un visage féminin se dessina, des éclats de rire retentirent, et un poignard transperça son cœur à nouveau, tant d’années après. « Certes, mon devoir est accompli, mais ma vie, qu’a-t-elle été ? Une recherche de gloire pour tenter d’oublier la douleur ? Quelle futilité, quelle perte de temps ! J’ai accompli mon devoir pour fuir mes sentiments, ma douleur, mais fuir également tout espoir de bonheur. Et aujourd’hui que suis-je ? Une ombre dans la nuit, attendant sa libération par l’Etranger. » Cela faisait bien des années qu’il n’avait pas pleuré, des années que le vent avait asséché ses yeux. Pourtant, vivant pleinement ses derniers instants en ce monde, ser Denys Stone laissa s’écouler une larme sur sa joue. Puis il se leva et se mit à marcher. Il avait une dernière mission à accomplir…

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    DOH10 : Ser Denys Stone, Change-peau et Tourne-casaque

    #190161
    Ædianys
    • Exterminateur de Sauvageons
    • Posts : 852

    « Pfiou, encore une journée en vie, sans recevoir la moindre attention. »

    Aiglon en était particulièrement content. Il avait réussi à éviter les honneurs de la maison et les promotions, tout comme son camarade Lysandre (Aerolys).

    « Au moins on continuera à nous laisser tranquille, contrairement à ce pauvre Ser Sandrenal…

    — Regarde-le s’exercer dans la cour, on dirait qu’il ne veut même pas se cacher des dangers. Tout le monde sait qu’il faut rentrer à la tombée de la nuit pourtant.

    — Mais Lysandre, tu sais bien que les loups ont réussi à tuer Mestre Tybalt dans la rookerie. On n’est plus en sécurité dans nos chambres.

    — T’as raison, reprit Aiglon, je vais faire un tour dans des ruelles sombres, ils s’attendront jamais à ce que je sois là. »

    ——————————-

    « Bon, clairement, c’était une mauvaise idée de sortir, il fait un de ces froid aujourd’hui, c’en est presque criminel. Et puis on y voit pas à dix pas tellement c’est peu éclairé. Gnagnagna le feu c’est un élément de propagande de Stannis, enlevez-moi ces braseros, tout le monde restera à l’intérieur de toute façon. Pff, quelle bande d’intolérant… Heureusement que j’ai encore ma foi pour me réchauffer et m’éclairer, dit Aiglon en tâtant la fiole d’alcool qu’il gardait sous son manteau. Tiens, c’est quoi ce panneau, ça y était pas hier. Encore une consigne luminophobe je suppose ? »

    Aiglon décida de s’approcher et enleva la neige qui recouvrait partiellement le panneau. « Merçi de me laicé trenquille et de ne pa me révéillé avan l’anné 350, je prattique la cryogénie. Signé, Mestre Worgen. » Le chevalier, voyant le pousse levé de mestre Worgen dépassant de la congère, se dit que celui-ci avait tout sous contrôle, et décida de le laisser continuer son expérience. Quelle chance quand même de pouvoir dormir pour éviter tout ces conflits…

    ——————————-

    « Inspecteur Drozo, voici la chambre de la victime, je vous laisse faire votre enquête ».

    « Quoifils, il est l’heure de fouiller. Les tiroirs, les coffres, sous le lit, derrière les tiroirs, derrière les coffres, sur les lits, bref tu m’as compris, passons cette chambre au peigne fin. Si le mort avait un quelconque lien avec les Loups de l’Hiver, je veux le savoir. »

    Au bout de plusieurs minutes de fouille approfondie, les enquêteurs se mirent d’accord, cette personne n’était vraiment pas discrète : des statuettes de Robb, une peinture de Stannis, des pin’s The North Remembers, une bougie qui sent bon l’odeur de Vent Gris, le disparu était bien évidemment un traître.

    « Inspecteur, vous avez vu cette lettre ?

    — Bien sûr que non, elle est beaucoup trop en évidence pour que ce soit d’une quelconque importance Quoifils !

    — Lisez là quand même, ça pourrais vous intéresser.

    Désolé mon Fantôme, désolé mon Roi,

    Je vous ai trahis pour vos ennemis contre de l’argent. Je vois ma culpabilité maintenant. Je vais racheter mes fautes en vous rejoignant et en vous livrant toutes les failles de Winterfell.

    Stannis, vous êtes mon roi.

    Mort aux traîtres Bolton.

    — Cela explique en effet sa fuite. Je pense que l’on peut classer cette affaire Quoifils. Encore une brillante enquête de l’inspecteur Drozo ! »

    ——————————-

    « Mais dis donc, si le mestre fait la sieste, ça veut donc dire que la tour du Mestre n’est pas surveillée ! C’est le moment de faire des prises intéressantes, je suis sûr qu’il a tout plein d’alcool qu’il garde en secret. De toute façon, il m’en voudra pas vu qu’en 350 elles se seront gâtées. Enfin, de toute façon je serai qu’un petit tas de cendres moi-même en 350 alors qu’est ce que je m’en fiches ! »

    Aiglon décida donc de passer à la tour du mestre. Tout est bien calme ici, se dit-il. Pourquoi diable les corbeaux ne piaillent-ils pas comme d’habitude ? Le mestre avait-il décidé de roupiller en leur compagnie pour ne pas avoir à se séparer d’eux ? Il semblerait bien en tout cas, car la quasi-totalité des cages étaient ouvertes, et les volatiles avaient disparus.

    ——————————-

    Quel pied, mais quel pied ! Corbeau Rouge n’arrivait pas à s’en remettre. Être forcé de quitter Winterfell pour rejoindre Stannis ? Pourrait-il continuer son double jeu là-bas ? Pas sûr, mais ça valait le coup d’essayer. Pourquoi diable l’avaient-ils trainés jusque là pour ne finalement que lui casser le pied ? Avaient-ils été miséricordieux envers celui qui faisait autrefois partie des leurs ? Il avait passé une demie-heure à clopiner pour essayer de rejoindre Winterfell, et avertir les Grands Vassaux de ce qui se passait. Puis il l’entendit. Une corne de brume, mais pas celle de Stannis, celle de Ramsay. Puis les aboiements. Il ferma les yeux et les attendit, il savait qu’il n’avait aucune chance.

    ——————————-

    Aiglon, les poches remplies des quelques réserves de Mestre Worgen qu’il avait réussi à emporter, décida finalement qu’il allait partager son butin. Après tout, seul, il n’arriverait pas à tout emporter, et ce serait bien du gâchis. Il décida donc de se rendre dans ses quartiers retrouver Ser Lysandre qui devait l’attendre bien au chaud. Mais c’est en entrant qu’il compris que ce dernier l’avait devancé : les bruits de corbeaux montraient bien qu’il était passé avant lui. Petit malin, j’espère qu’il voudra bien partager, il a dû avoir la meilleure part en plus. Suis-je bête, pourquoi a-t-il laissé les corbeaux hors des cages ! On arrivera jamais à les cacher s’il les garde en liberté, et on se fera pincer super vite ! Aiglon couru donc jusqu’à la chambre de Ser Lysandre pour l’avertir… mais ne trouva là qu’un courant d’air frais venant de la fenêtre grande ouverte, et le festin des corbeaux qui béquetaient le cadavre de son ami. « Stone ! Stone ! Stone ! »

    Worgen Stone, Aerolys et Corbeau Rouge ont été assassinés.

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    #190162
    CorbeauRouge
    • Frère Juré
    • Posts : 52

    Depuis quelques temps, l’ordinaire des corbeaux s’était amélioré. Au grain habituel s’était ajouté le gruau délaissé par les humains. L’oiseau s’en réjouissait, mais pressentait qu’il aurait droit ce soir-ci à un autre complément à son alimentation. Certains occupants du château s’amusaient en effet à massacrer de manière régulière leurs camarades, pour le plus grand plaisir des occupants de la roukerie. Il s’envola donc braver le froid à la recherche de quelque cadavre. Il s’éloigna du château pour voler aux alentours du Bois-aux-Loups, et après quelques minutes, il remarqua un certain tumulte. Des chiens semblaient poursuivre un pauvre humain boitillant. Ils le rattrapèrent rapidement, et dès les premières morsures aux jambes son sort était scellé. Mais alors que la victime s’apprêtait à expirer, il sembla au corbeau qu’il reconnaissait ce visage. Il s’approcha donc, et sentit une sorte d’énergie incontrôlable s’emparer de lui.

    Toute forme de douleur avait quitté Denys, et il se sentait presque s’envoler dans les airs. Non, il s’envolait réellement. C’était comme s’il avait pris possession d’un nouveau corps, un corps d’oiseau. Mais cette sensation était presque familière. C’est alors qu’il se souvînt. Sa première rencontre avec le corbeau et le malaise qu’il avait ressenti en occupant pour la première fois son esprit. Les nuits agitées durant lesquelles il avait appris à maîtriser son nouveau pouvoir, puis ses quelques instants après le choc dans l’écurie, instants pendant lesquels sa conscience ne subsistait plus que dans l’oiseau. Désormais, cette situation serait définitive, il n’avait plus aucun espoir de récupérer son corps initial. Mais il pouvait toujours accomplir son ultime mission. Il s’envola vers la roukerie afin de rameuter les corbeaux qui s’y trouvaient. Il savait dans quelle chambre se cachait sa cible, et dirigea dans cette direction ses comparses en criant « Stone ! Stone ! Stone ! », les seuls mots qu’il parvenait à faire dire à son nouvel hôte. La nuée noire qui le suivait l’imita alors en répétant à leur tour « Stone ! Stone ! Stone ! ». Lorsqu’il aperçut ser Lysandre, il lança l’attaque en piqué et donna un coup de bec dans son crâne. Après lui s’abattit une pluie de becs et de serres, ne laissant aucune chance à ce pauvre chevalier au marcassin. Une fois leur méfait accompli, les autres corbeaux se dispersèrent, laissant Denys seul auprès du cadavre. Désormais il ne serait plus que cela, un corbeau. Un corbeau assassin. Un corbeau au plumage tâcheté de sang. Un corbeau rouge.

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    #190166
    Tybalt Ouestrelin
    • Pas Trouillard
    • Posts : 550

    Le vieux Mestre avait été assassiné. Tybalt avait été tiré de son éternité. Une ultime pensée, un dernier souffle l’avait convoqué.

    Ser Ulysse Mervault était sur les lieux du crime, impassible et pensif.

    « Nous avons besoin de tous les éléments possibles pour confondre les coupables, comment analyser les corps des défunts maintenant que les mestres ont été éliminés ? »

    Il fallait honorer l’existence du sage. L’âme de Tybalt se pencha sur l’épaule du Grand Vassal. « Je guiderai votre main ».

    DOH 8&10 : Tybalt Ouestrelin, acolyte loyaliste devenu Mestre ; Or, Argent et Bronze.
    DOH 9 : Lazzara zo Ghazîn, Grâce Bleue devenue Sénéchale. Miraculée devenue Conseillère. Pas Miraculée deux fois.

    #190173
    La main de Thys
    • Frère Juré
    • Posts : 73

    Perdu dans ses pensées, le fantôme d’Homaël en avait oublié de dresser le couvert. Les derniers hôtes n’allaient pas tarder à les rejoindre. Un loup, un tourne casaque, et un présumé innocent… « Que penser de tout cela ? » était l’unique pensée qu’il était bien capable de formuler. Bien sûr, une place serait faite pour chaque Omble à table, ici les querelles du passé prennent fin, avait-il apprit dès son premier repas de fantôme. Bien sûr, le présumé loup Aerolys serait accueillit comme tout le monde, avec les honneurs. Bien sûr, tout le monde attendra avec impatience les chips promises par ser Denys. Bien sûr, ser Jaquen nous composera une petite chanson en l’honneur du meurtre des défunts – heu non, des défunts tout court ! -. Bien sûr, la manifestation pro Manderly allait continuer et le blocage des nominations avec, cela durerait tant que les Grands Vassaux ne satisferont pas nos demandes. 

    Mais surtout, la table n’était toujours pas mise et cette gredine de Yoda était introuvable ! Il allait encore devoir tout préparer lui-même. Heureusement, cette fois c’était pour une bonne raison. Lui ne pouvant pas quitter Winterfell des yeux (les enjeux qui s’y déroulaient étaient bien trop précieux, il ne voulait pas en manquer une miette), il l’avait personnellement chargée de s’occuper de la dépouille de Denys, ou du moins de ce qu’il en restait. Ses consignes avaient été on ne peut plus claires : comme le veut la procédure règlementaire de mises en bières de dépouilles célèbres appartenant à un partisan ayant fait don de son corps pour la cause de manière particulièrement héroïque – cette partie est à interprétation libre de la part du jury -, les restes de Ser Denys, glorieux Capitaine de la Maison Manderly, Tourne Casaque de son passé récent au détriment de l’armée libre de Stannis Baratheon et en la faveur de la cité de Winterfell et de son maître incontesté Roose Bolton seront enterrés sur la montagne la plus proche de son lieu de décès, sous l’ombre d’une fleur, de préférence un lila, qu’affectionnent tout particulièrement les corbeaux, qui pourra selon la saison être acheté et planté en vue de la cérémonie ou bien déjà implanté localement si les conditions le permettent. 

    « Je ne comprends vraiment pas ce qui lui prend autant de temps, c’est pourtant simple ! » pestait-il en réfléchissant aux changements de répartition des chaises auquel il allait devoir procéder après la mort de Sandrenal.

    Les hommes sont comme les nuages. Ils sont chassés en avant par un vent mystérieux et invisible face auquel ils sont impuissants. Ils croient maîtriser leur route et se moquent de la faiblesse des nuages, mais leur vent à eux est mille fois plus fort que celui qui souffle là-haut.

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