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Little Big Finger, le il y a 1 année et 9 mois.
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Sylvia
- Éplucheur avec un Économe
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Schrö-dinger
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Hizieł
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Aspics des sables
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Je participe à l’assassinat contre Lady MacBeth.
Nan mais, là, comme dirait Ben dans C’est arrivé près de chez vous, il n’y a pas besoin d’utiliser une arme, il suffit de lui mettre un coup de stress supplémentaire et c’est bon.
(rien que de l’écrire me rappelle combien ce film est horrible 😅 )
Bienvenue à toi Lady MacBeth, ne t’arraches pas trop les cheveux, Fitz connait bien le jeu (et les joueurs !), il va pouvoir apaiser tes appréhensions et tes doutes. Et puis, Corbeau Rouge a l’air sympa aussi. Vous semblez être une équipe de conseillers bien équilibrée.
(si je venais à faire allusion à une possibilité de révolte, pas de panique ! C’est soit parce que je n’ai pas su exprimer correctement ma réflexion en lien avec cette possibilité, soit un clin d’œil à Graymarch en lien avec DOH7 😉 )
Je n’ai pas encore eu le temps de lire vos RP (il y en a tout plein, je vais me régaler ! ), ni d’écrire le mien mais, mon après-midi étant relativement calme, je devrais pouvoir y arriver avant l’heure fatidique 😁
En attendant, je vous souhaite un très bon jeu à tous !
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Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par
Aspics des sables.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par Aspics des sables.
Worgen Stone
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Ser Aemon Belaerys
- Exterminateur de Sauvageons
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Aerolys
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On la secoua, ce qui l’a fit sursauté.
Elle s’était encore endormi sur ses livres. L’acolyte qui l’avait réveillé lui parla du discours qui s’était tenu quelques heures auparavant.
« Qué ? C’est quoi cette histoire de poulpe ? Ils en préparent en cuisine ? »
Son confrère acolyte se frappa le visage de consternation. Plus tête en l’air qu’elle relevait de l’exploit.
Il lui parla du Choucas, des fer-nés et des îles de fer. Aera soupira. Même s’il tentait de lui expliquer la situation, elle avait l’impression qu’il l’a prenait de haut en lui racontant des choses qu’elle savait déjà.
Bref, maintenant qu’elle était au fait de la situation, elle avait faim.
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Aerolys.
Toutes les plus belles histoires commencent par une brique sur le pied.
Si Theon ouvre un bar, c'est le Baratheon.
Spoiler:
de-mil
- Pas Trouillard
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L’acolyte Teto était en train de ranger des vieux parchemins lorsqu’il tomba sur un texte étrange écrit par un certain mestre Fhvdu. Le texte commençait ainsi :
Hq idlvdqw phv uhfkhufkhv vxu ghv frusv ghixqwv m’dl sx phwwuh dx srlqw fhuwdlqhv whfkqltxhv phglfdohv uhyroxwlrqqdluhv. Pdokhxuhxvhphqw, ohv dufklphvwuhv gh prq whpsv qh vrqw sdv hqfolq d p’hfrxwhu. Mh vxlv grqf reoljhu gh fkliiuhu phv uhfkhufkhv gdqv o’hvsrlu txh, gdqv oh ixwxu, txhotx’xq sxlvvh ohv uhwurxyhu. Srxu frpphqfhu, m’dl ghfrxyhuw frpphqw vrljqhu ohv sdwlhqwv dwwhlqwv gh julvhfdlooh. Od fxuh gh od ohsurvh hvw
« Quel charabia inutile » se dit Teto, avant de jeter le parchemin.
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de-mil.
Qoof^g hfosd_ow do fkj isl ùqdk hnfkj ersl oq armmf hqskfv Fj esdk hnfkj jfh:md,sfùfmj sm hrif if ksakjdjsjdrm irmh *q uqv Fj ksljrsj do fkj ksefl ilyrof w h:d!!lfl VE
Corondar
- Pisteur de Géants
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Aspics des sables
- Pisteur de Géants
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Aspic claqua la porte de sa luxueuse villa et alla directement s’installer sur son canapé. Sa journée avait été éprouvante – détestant les mondanités que lui imposait son statut dans la société – mais constructive puisqu’elle avait appris qu’il y avait, depuis peu, des femmes à la Citadelle. De quoi faire serrer les dents à tous ces prétentieux qui étaient dans l’idée que le savoir n’appartenait qu’aux hommes, comme ce mestre qui se nommait Darkdoudou.
Heureusement, certains étaient plus ouverts, comme Mestre Hiziel qui, percevant sa soif de connaissance, lui avait enseigné, sur ses temps de repos, les arts de guérir et de la guerre. Il ne devait plus s’en souvenir, ayant réalisé cet apprentissage bien avant son premier mariage, mais ce dernier allait lui permettre – avec une bourse pleine de sols – d’allier les maillons d’argent et de fer à sa lanière de cuir et ainsi accéder directement au statut d’acolyte. Il était hors de question qu’elle perde son confort actuel pour être novice !
Alors que son corps se détendait, un sourire se dessina sur ses lèvres, s’imaginant déjà au plus haut de la hiérarchie. Elle allait enfin pouvoir accéder au savoir et ainsi réaliser son rêve de petite fille : égaler les hommes de la Citadelle. Voire même plus, après tout, il y avait bien une femme chez les conseillers, son ambition n’était donc pas illusoire.
Alors, oui, le danger – au vu de l’annonce du conseiller Fitz – rôdait dans les couloirs de la Citadelle mais elle s’était toujours moquée de ce dernier et s’était construite les armes pour s’en protéger. Après tout, elle ne s’appelait pas Aspic pour rien.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par Aspics des sables.
CorbeauRouge
- Frère Juré
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La nuit commençait à tomber et le capitaine de l’escorte s’impatientait :
« Messire Conseiller, le ciel s’assombrit. Il nous faut rentrer à la Grand-Tour où votre sécurité sera bien mieux assurée qu’ici.
– Oui, nous allons rentrer, mais laissez-moi juste quelques instants pour m’entretenir avec mon neveu. En privé, ajouta le Corbeau Rouge en voyant que le capitaine ne se retirait pas.
– Très bien messire, mais ne tardez pas trop, l’atmosphère de la ville ne me plaît pas, et je ne voudrais pas que l’on soit pris dans une embuscade une fois la nuit tombée. »
Cette atmosphère pesante, le conseiller la ressentait également, et il avait le pressentiment que la nuit à venir ne serait pas de tout repos. Mais il ne souhaitait pas que ce moment, sans doute le dernier qu’il passerait avec un membre de sa famille avant longtemps, soit pollué par ses doutes et ses peurs.
Le neveu en question, Kroas Helioz, était arrivé à Villevieille cinq ans auparavant pour assister le Corbeau Rouge dans son commerce. Le patriarche de la famille Helioz l’avait envoyé là afin que soit préservée voire amplifiée l’influence de la famille au sein de la cité des mestres, et ce malgré la disparition de celui qui avait fondé le comptoir. Il espérait en effet que le renforcement des liens commerciaux et diplomatiques avec Villevieille l’aiderait à obtenir, à terme, le titre d’archonte de Tyrosh.
Kroas, comme souvent, était plongé dans les livres de comptes quand le Corbeau l’interpella :
« Kroas, mon garçon ! Lève un petit peu le nez de tes livres et viens embrasser ton oncle ! »
Une fois que le jeune homme se fût exécuté, son oncle lui annonça :
« Comme tu le sais, les boutres fer-nés sont au porte de la ville. J’ai été nommé Conseiller en charge de la défense de la cité par Lord Hightower, et je compte mettre toutes mes capacités au service de cette mission. Mais la menace est trop grande, et elle pèse sur toutes les âmes peuplant cette ville, la tienne comprise. Je veux que tu partes, que tu fuies la barbarie fer-née, que tu rentre à Tyrosh auprès de notre famille.
– Mais mon oncle, je ne saurais partir sans v…
– Ne joue pas à l’imbécile ! Tu es jeune, plein de talent, tu es l’avenir de notre famille. Et par conséquent s’il devait t’arriver malheur, je ne saurais me le pardonner. Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne, tu partiras. Prend un cheval, suffisamment de monnaie pour subvenir à tous tes besoins, et rejoins un port dornien d’où tu embarqueras pour Tyrosh. Le Bief est infesté de seiches et n’est donc plus sûr.
– Mais, et vous ? Vous ne pouvez pas rester dans cette cité étrangère pour y mourir !
– Cette cité étrangère dis-tu ? Toute ma vie est ici. Mes accomplissements, mes amis, mes amours déçus, tout ! Si cette ville venait à brûler de mon vivant, ce serait pour moi une douleur comparable à la mort. C’est pour cette raison que je reste, pour protéger mon histoire et pour enfin ne plus être considéré comme un étranger en ma propre demeure.
Adieu mon neveu ! Tu es un brave garçon mais tu as encore toute la vie devant toi. Ne la gâche pas pour moi. »
A ses mots, les deux hommes se prirent dans les bras pour une dernière fois.
Lorsqu’en partant le Corbeau Rouge se retourna pour jeter un dernier regard sur son neveu, il vit sur les joues de celui-ci couler quelques larmes. Attristé par cette vision, il dût presque réprimer un sanglot lorsqu’il ordonna au capitaine de laisser deux gardes pour protéger la demeure. Une fois cela fait, il annonça avec plus d’assurance :
« Rentrons à la Grand-Tour ! Il est temps pour moi de découvrir mes nouveaux appartements. »
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Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par
CorbeauRouge.
DOH8 : Bran Helioz, Conseiller tyroshi au service de Villevieille
DOH9 : Mirri, Grâce alcoolique et révolutionnaire
DOH10 : Ser Denys Stone, Change-peau et Tourne-casaque
Tamacti_Jon
- Éplucheur avec un Économe
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Quintus Cularo
- Patrouilleur du Dimanche
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Quintus ratura la dernière ligne une fois encore, un juron aux lèvres. La peste soit des discours. En d’autres circonstances il aurait laissé un de ses assistants l’écrire à sa place, mais celui-ci était par trop important.
Les prises de parole s’était multipliées ces derniers temps. Pour le meilleur et pour le pire. Celle du Conseiller Fitz l’avait rassuré. Depuis un moment il craignait que lord Hightower ne profite de la situation pour prendre le contrôle de la Citadelle. Heureusement ses intentions semblaient sincères. Les Conseillers pourraient diriger efficacement la chasse aux hommes du prétendu choucas. Et cela était nécessaire car l’ambiance devenait de plus en plus paranoïaque. Quintus craignait que les mestres finissent par se comporter comme des paysans, prompts à lyncher publiquement ceux qu’ils estiment marginaux à la première crise venue. Exactement ce que Quintus espérait éviter avec ce discours qu’il devait déclarer le lendemain. Maintenir la cohésion et accorder pleine confiance dans les <u>C</u>onseillers (l’archimestre balaya mentalement les rumeurs affirmant que leurs noms avaient été soufflées à lord Hightower par son confrère Marwyn).
Il y avait aussi ce sujet des femmes infiltrées (voire légalement admise à la Citadelle) qui prennait des proportions absurdes. Personne ne pouvait croire qu’elles étaient les premières et il était improbable qu’elles soient les dernières. Et si leurs esprits étaient affûtés, n’avaient elles par leur place à la Citadelle.
« Une barbe n’est pas un pré-requis à la sagesse, pas plus qu’elle n’en est une preuve. »
Satisfait il reposa sa plume. Enfin il avait trouvé une bonne phrase de conclusion. Mais le travail terminé, les doutes de l’archimestre revenaient. Pourtant peu d’homme au monde était à ce point entouré par les dieux. Il n’avait qu’à lever les yeux pour voir la chèvre en ébène aux cornes d’argent, ramenée de Qohor, le cœur en bronze nimbé de flammes trouvé sur un marché de Volantis et tant d’autres. En tant que spécialiste de l’étude des religions, sa collection était à la hauteur. Tant de dieux et si peu de réponses…
Son regard se reporta sur la feuille. Avant de prononcer son discours il faudrait le mettre au propre. Pour cette tâche un acolyte suffirait.-
Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par
Quintus Cularo.
N'est pas mort ce qui à jamais dort, mais en d'étranges ères peut mourir même la mort.
La main de Thys
- Frère Juré
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Mon premier jour à la Tour… Et mon premier jour en tant que mestre. Cela va créer des jalousies au sein des petzouilles du premier étage. Cela restera leur problème, les petzouilles ca ne sert qu’à faire du bruit quand ils meurent. Et mon petit doigt, celui qui n’a pas été écrasé, me dit que la plupart d’entre eux ne mourront pas étouffés par un aileron de poulet…
Dire que j’ai été engagé pour protéger cette racaille. Vingt ans que la majorité d’entre eux s’empiffre de gâteaux et de bouquins pendant que la plèbe trime à la guerre et dans les champs… Ne rêvant que d’ascension à un rang de boustifailleur plus élevé… Qui sait, peut être les conseillers ont-t’il le droit de manger des poulardes entières à chaque repas…
Remarque, cela vaudrait la peine de gravir quelques échelons.
Les conseillers doivent être vraiment désespérés pour nommer un des nôtres à un rang si élevé dans la hiérarchie. Sans cette missive du chef des armées, je me doute qu’ils m’aurait envoyé paître.Mais l’efficacité et la discrétion de nos lames est réputée, surtout chez les érudits.
La plupart des gens réagissent de deux façons en voyant les poignards à ma ceinture, les dagues sanglés sur mon dos, et les étoiles subtilement coincée dans mes bottes. Soit il me craignent, soit ils me respectent.
Je vois bien que si parmi les conseillers je ne fais pas l’unanimité, les mestres et acolytes ne m’accueilleront certainement pas de bon cœur. C’est pourquoi je tâcherai de rester en retrait de leurs collèges et assemblées. Après tout, me lier d’amitié avec ces gens ne m’aidera pas à débusquer les traîtres. Non, je vais les observer un par un, de jour comme de nuit, et je finirais par les faire tomber.Comme des pions sur un échiquier.
« Salut, Marchombre ! », hurla un homme fraîchement débarqué sous mes yeux. Sa carrure était des plus singulières.
Bas, rondouillet, il ressemblait étrangement à un gamin que j’avais sauvé sur les routes il y a de cela une vingtaine d’année.
« Little Big ! c’est toi ? »Il semblait que mon projet d’observation silencieuse était malmené avant d’avoir commencé…
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Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par
La main de Thys.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par
Eridan. Raison: modération : retrait de balises gênantes pour la lecture
Les hommes sont comme les nuages. Ils sont chassés en avant par un vent mystérieux et invisible face auquel ils sont impuissants. Ils croient maîtriser leur route et se moquent de la faiblesse des nuages, mais leur vent à eux est mille fois plus fort que celui qui souffle là-haut.
Épée du Matin
- Patrouilleur du Dimanche
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DroZo
- Terreur des Spectres
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« Grain, grain ! »
Dans sa rookerie le corbeau s’impatienta. Les mestres qui le nourrissaient avaient- ils oubliés que c’était l’heure .de manger ? Selon la convention collective signée 7 ans auparavant entre le syndicat Corbeau Grand Travailleur et les cadres de la Cotadelle de Villevieille, les corbeaux devaient être nourris par l’employeur à 6h30 du matin précise. Et il était 6h33 ! Ce n’était pas acceptable !
« Grain ! Grain ! »
Sa maman lui avait bien dit qu’il aurait pas dû accepter ce boulot à Villevieille, qu’il aurait été bien mieux à travailler pour la Hautjardin Corbeauration. A l’époque pourtant, il s’était dit qu’il n’aurait pas de mal à se nourrir au milieu de ces rats de bibliothèques. Aujourd’hui, c’était au tour de mestre Niels de lui donner du grain. Mais ce gros fainéant de Niels avait décidé de ne plus bouger depuis qu’on l’avait étranglé avec sa chaîne. Non mais sérieux quel toupet ! C’est pas parce qu’on est mort que ça vous donne le droit de ne pas donner le repas syndical au Corbeau !
« Grain ! Grain ! »
Il se dandinait d’une pâte à l’autre maintenant. Le pire, c’est que deux autre mestres s’étaient rendus compte de la mort de Niels et n’avait pas pris la peine de prévenir leur hiérarchie qu’il y avait un corbeau qui crevait de faim ici ! Les mestres Jean-Remy et Tham étaient décidément plus intéressé par l’idée de réanimer leur collègue décédé que par celle de donner du grain au volatile affamé. Si Mestre Tham et Mestre Jean-Rémy avaient fait leur travail, peut-être que le corbeau aurait pu les prévenir que des silhouettes se pressaient derrière eux pour les étrangler à leur tour, eux aussi avec leur propre chaîne.
« Grain ! Grain ! GRAIN PUTAIN VOUS ÊTES SOURDS ? »
Il était 6h39. Réfléchissons. Si Mestre Tham, Mestre Jean-Remy et Mestre Niels étaient indisponibles, se serait au tour de qui de lui donner à manger ? Selon le registre, que le corbeau apprenait pat coeur toutes les semaines, ce devrait être à l’acolyte Lestival de s’en charger. Encore une mauvaise nouvelle, puisque le Corbeau pouvait observer par sa fenêtre le cadavre de ce dernier, pendouillant misérablement ) un des créneaux du chemin de ronde de la Citadelle. Quant à Mestre Buveurdelatreille, ses cris terrifiés retentissaient encore dans les couloirs sombres de l’université, alors que, semble t-il, on était en train de le noyer dans du vin rouge de Dorne – une mort horrible pour un marchand de la Treille. Autant ne pas compter sur lui non plus.
« Grain ! Grain ! »
C’était quand même curieux quand on y réfléchissait ces gens qui mourraient sans raisons. De ce que le Corbeau avait compris, Lestival, Niels, Jean-Remy, Buveurdelatreil et Tham n’étaient pas les seuls à avoir été occis durant la nuit. Selon les journalistes de Les Vieilles de Villenews, le canard que lisait le corbeau (oui, on en est là niveau blague pourave) cette vague de meurtre avait visiblement également touché durant la nuit les mestres Lord Unknown et Roumi. Eux aussi étranglés avec leur chaîne. Les Conseillers n’avaient apparemment pas eu le temps de faire des commentaires, mais le corbeau pensait que les coupable était un forgeron qui faisait des chaînes trop petites. Ça ou les mystérieux Hommes de Choucas, ou Pt le Porcher, au choix.
« Grain ! Grain ! »
Une idée lui vint alors pour calmer sa faim. Les Mestres Lord Unknown, Tham, Roumi, Buveurdelatreille, Jean-Remy, Niels ainsi que l’Acolyte Lestival devaient le nourrir, mais ils ne faisaient rien allant dans ce sens car ils étaient morts. Qu’à cela ne tienne ! À travers les barreaux de sa cage, le corbeau attrapa un clou qui trainait par là et s’en servit pour crocheter sa serrure. Ceci fait, il s’envola vers les cadavres de ses serviteurs humains, et leur picora les yeux.
Après tout, selon la convention collective signée par le syndicat des Corbeaux Grand Travailleurs et la Citadelle des Mestres, les humains devaient accomplir leur devoir même qprès la mort. Et le devoir de ces humains était de le nourrir…
Les mestres Tham, Niels, roumi, Lord Unknown, Jean-Remy, Buveur delatreille et l’Acolyte Lestival ont été assassinés.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par
DroZo.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par DroZo.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par DroZo.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par DroZo.
MJ du jeu de rôle sur forum Les Prétendants d’Harrenhal (LPH).Rejoignez-nous !
A.k.a. Fanta le Fantôme avec des bulles dans DOH10.
Eridan
- Vervoyant
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Cela faisait trois jours que Jessica Fléchier avait quitté son petit cottage de la Crique-au-Cabot, pour venir visiter Villevieille. Et comme à chaque fois qu’elle se rendait dans un nouveau lieu, un meurtre avait été commis. Les mauvaises langues l’accusaient de chercher les ennuis, les crédules pensaient qu’elle les provoquait … Elle préférait parler de son flaire de détective ! Et une fois de plus, son intuition ne l’avait pas trompée ! Elle était au bon endroit au bon moment !
Le lendemain du crime, alors que le soleil se levait à peine, Jessica fut réveillée par des coups, à la porte de sa chambre. C’était la petite Rosie qui lui apportait une courte missive. Un coursier, portant la livrée Hightower, l’avait donné en exigeant qu’on la lui remette au plus vite.
Meurtres dans la nuit
Connaissons bien votre réputation de fouineuse indiscrète.
Ne venez pas.
Pas besoin de vous.
Lord Hightower.L’écriture était bien celle de lord Leyton Hightower, aucun doute possible. Les lettres étaient tracées impeccablement, avec une plume d’oie de 12 pouces, et une encre noire de mestre … une encre de seiche, assurément.
Jessica reposa le billet. Elle résolut de résoudre cette affaire.
"Si l'enfer est éternel, le paradis est un leurre !"
Jean-Rémy
- Frère Juré
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Corondar
- Pisteur de Géants
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Les cris des volatiles avaient réveillé toute la Citadelle. Le tintamarre n’avait cessé que lorsque les piafs avaient enfin pu se mettre de la nourriture sous le bec. Et quelle nourriture ! L’acolyte Coco en était révulsé, il avait vu certains des cadavres : leurs orbites vides allaient le suivre dans ses cauchemars, il en était persuadé. D’autant qu’il avait hérité de la besogne de récupérer les corbeaux, de les remettre dans leurs cages, avec une nourriture plus adaptée. Les noirs volatiles avaient accepté le grain, mais Coco aurait juré qu’ils regardaient désormais ses propres yeux avec un éclair de gourmandise dans le regard.
Mais dans l’immédiat, ce qui le traumatisait le plus ce n’était pas les pulsions éventuellement carnassières de la volaille, mais bien les morts qui jonchaient la Citadelle un peu partout. Non seulement les rumeurs et les craintes étaient fondées, mais on pouvait dire que les Hommes du Choucas (c’est ainsi qu’on les appelait d’après les bruits de couloirs entendus par l’acolyte Coco) n’avaient pas fait dans la dentelle ! 6 Mestres et 1 Acolyte décédés ! 7 morts en tout, la symbolique du chiffre ne pouvait être ignorée : les Hommes du Choucas auraient voulu blasphémer qu’ils ne s’y seraient pas pris autrement.
Et il sentait désormais les regards lourds de suspicion, les accusations muettes, la rumeur des couloirs. Quant à Coco, il ne savait pas ce qu’il craignait le plus : devenir un Mestre c’était prendre le risque de se faire zigouiller par les Hommes du Choucas, rester un Acolyte c’était prendre le risque d’être entouré par eux. Car il ne fallait pas être grand clair : si ils avaient tué autant de Mestres, c’est qu’ils espéraient bien voir certains de leurs membres s’élever dans la hiérarchie de la Tour…Et ben, 7 morts, dont 6 Mestres, c’est là un début fracassant. Y a eu de l’influence et beaucoup d’escouades à l’œuvre. Je m’interroge forcément sur la mort de Lestival, seul Acolyte de la série. Pourquoi un Acolyte, et pourquoi lui ?
Je n’ai pas la réponse, mais c’est étrange…-
Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par
Corondar.
Quentyn Tully
- Patrouilleur Expérimenté
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Un RP Arabesque? Élisez immédiatement cette personne au Conseil!
Ancienne Harpie malchanceuse
Orys puis Alaric Fel sur Une Chanson d'Encre et de Sang
Noirchâteau ça va pas trop...
Un jour, je finirai ASOS!Corondar
- Pisteur de Géants
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Un RP Arabesque? Élisez immédiatement cette personne au Conseil!
Vu que cette personne ne fait pas parti des joueurs inscrits, ça va être difficile. Je note que la Truite en est déjà à appeler de ses vœux un turn over au sein du Conseil
…
Fitz
- Patrouilleur Expérimenté
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Un RP Arabesque? Élisez immédiatement cette personne au Conseil!
Vu que cette personne ne fait pas parti des joueurs inscrits, ça va être difficile. Je note que la Truite en est déjà à appeler de ses vœux un turn over au sein du Conseil
…C’est effectivement noté !
Liloo75
- Fléau des Autres
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Liloo s’etait attardée près des remparts, le regard perdu dans la contemplation de la mer.
Elle n’avait pas rejoint la Citadelle à une heure décente. Préférant s’arrêter dans une taverne de sa prédilection. On y servait en effet un petit vin de la Treille à la saveur fruitée. Liloo ne partageait pas le goût de ses condisciples pour la bière. Elle aimait déguster un bon vin, trahissant peut-être ainsi ses origines aristocratiques.
Arrivée dès potron-minet à la Citadelle, elle y nota une agitation inhabituelle. Des acolytes, des mestres s’agitaient en tous sens, comme dans une fourmilière.
Elle crut comprendre, pêle-mêle, que des hommes du Choucas, le nouveau roi des Iles-de-Fer, s’étaient introduits dans le sanctuaire du savoir. Le conseiller Fitz avait réclamé l’assistance de toutes les personnes de bonne volonté afin de débusquer les intrus.
Était-ce seulement vrai ? Tous les hommes ou femmes portant une robe s’agitaient en tous sens, comme saisis par une peur panique. Et leurs propos étaient confus.
Néanmoins, le Conseiller Fitz devait avoir vu juste, car l’on apprit bientôt de source sûre que 6 mestres et 1 acolyte avaient été retrouvés morts, étranglés avec leurs propres chaînes.
Par les sept enfers, qui avait pu commettre un tel sacrilège ?
Et comment parvenir à séparer le bon grain de l’ivraie ? Liloo était relativement nouvelle à la Citadelle. Elle ne connaissait pas tous les hommes de savoir qui la peuplaient. D’autant plus que certains d’entre-eux portaient fréquemment leur capuche rabattue sur leur tête.
Qui était un véritable Mestre ? Qui pouvait être un fer-né travesti en sachant ?
En voilà une gageure !
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Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par
Liloo75.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par Liloo75.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par Liloo75.
- De quels diables de dieux parlez-vous, lady Catelyn ? (…) S’il existe vraiment des dieux, pourquoi donc ce monde est-il saturé de douleur et d’iniquité ?
- Grâce aux êtres de votre espèce.
- Il n’y a pas d’êtres de mon espèce. Je suis unique.Sylvia
- Éplucheur avec un Économe
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Aerolys
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Aera était en train de terminer son livre « Calamar géant et autres créatures des Îles de fer » quand elle entendit des cris et de l’agitation dans le couloir.
Elle posa son grimoire sur sa petite table tout en faisant attention à ce que celui soit bien aligné avec les coins du meuble avant de quitter sa chambre.
La nouvelle lui fit manquer plusieurs battements de cœur. Sept meurtres ! Six mestres et un acolyte. Sept comme les dieux. L’acolyte pouvant représenter l’Étranger puisqu’il n’occupait pas le même poste que les six autres.
Elle fixa la torche sur sa droite. Celle-ci étant mal placé, elle la replaça correctement dans son socle, bien droite comme il le fallait.
« Ses fils de poulpes ont un drôle d’humour. » Se dit-elle.
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Spoiler:La main de Thys
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Aspics des sables
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Je n’ai pas, au vu du travail fourni aujourd’hui et de l’heure tardive, l’énergie pour faire un RP (cela attendra demain) mais je vois que les hommes du Choucas ont frappé fort : 6 mestres et mon p’tit chaton d’acolyte, c’est énorme ! Une grande pensée pour tous les 7, c’est toujours émouvant de voir son nom en rouge et cela quel que soit son camp. Une grande pensée aussi aux 3 conseillers qui doivent avoir, avec ce que renvoient ces premiers assassinats, les neurones en ébullition !
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Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par Aspics des sables.
Tamacti_Jon
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darkdoudou
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Babar des Bois
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