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MELT527, le il y a 1 année.
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Nymphadora
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Jon
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Je valide Le Bief du menu Westeros (un livre avec des fleurs sur la couverture) avec Okami-hime, premier tome des Héritiers d’Higashi, de Clémence Godefroy.
Même si une grande partie du livre se passe plutôt en ville ou dans des résidences, cette couverture « nature » reflète bien l’esprit du livre, basé sur le concept des esprits des animaux de la forêt interagissant dans une société féodale japanisante 🙂
Comme d’habitude, mon avis plus détaillé dans le topic des dernières lectures !
MELT527
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Bonsoir à tous,
Ce soir je valide le Menu Essos – Braavos : un livre dont l’auteur n’est ni américain, ni anglais, ni français avec L’organisation de Maria Galina (autrice russe).Tout d’abord, voici le résumé de Babelio :
1979, une ville portuaire provinciale russe. Après avoir raté ses examens d’entrée à l’université, Rose, 17 ans, obtient un emploi comme secrétaire au Centre d’Assainissement et d’Épidémiologie du port, bureau CSE/2. En quoi celui-ci diffère du bureau CSE/1, responsable de l’inspection des cargaisons à la recherche de virus et bactéries étrangères, n’est pas très clair aux yeux de la jeune femme. Peu importe le bureau, ce sont les mêmes rapports interminables, la même hiérarchie figée, les mêmes employés désabusés se débattant face aux défis de cette période de stagnation économique : pénurie de biens, appartements surpeuplés, queues interminables…
Mais quand la police découvre deux cadavres étrangement mutilés, la véritable activité du bureau CSE/2 est mise à jour : la lutte contre les parasites de nature non-biologique, plus communément appelés… démons. Pressés par les autorités qui voient d’un mauvais œil l’irruption d’un monstre à l’approche des Jeux olympiques, les membres du CSE/2 se lancent à la poursuite d’une antique divinité, un esprit malfaisant qui se repaît de la faim. Tandis que la panique gronde dans la ville et que l’émeute menace, Rose se retrouve plongée au cœur d’événements dramatiques qui surpassent de loin ceux de ses romans d’aventure favoris.Mon résumé : ce sont des loosers qui se trouvent confrontés à un truc surnaturel et qui doivent faire face à la bureaucratie soviétique pour tenter de l’arrêter. La fille ne sert à rien d’autre que d’être une cruche. FIN.
Je pense que vous l’avez compris, j’ai détesté. On m’a vendu des « Ghostbusters russes » (c’est sur la quatrième de couverture) et j’ai eu « The Office chez les Soviets ». Les personnages sont soient lâches, soient arrogants, soient idiots, soient moches et quelques fois combinent plusieurs de ces traits en même temps. On ne s’attache à personne, on ne retient aucun nom, c’est dramatiquement plat et inintéressant pendant les 9/10e du roman. Les seuls passages « corrects » sont les apparitions de la créature, et on est juste frustré parce qu’il y en a trop peu.
On ne nous explique rien, c’est comme lire le tome 7 d’Harry Potter sans avoir ni lu ni vu rien d’autre de la saga. On vous lâche des infos aléatoires, quelques fois, on passe d’une scène à une autre sans césure entre les paragraphes, du coup on comprend pas pourquoi cette personne est là ou plus là. C’est le bazar. Je regrette d’avoir suivi le conseil de la chaîne Les mots de l’imaginaire pour ce livre, qui d’habitude offre d’excellentes idées de lecture, pour celui-ci.
Heureusement, j’ai ma lecture d’Ewilan pour me remonter le moral…
@nymphadora Dans le fichier excel, il manque quelques entrées pour moi (message du 04/07) en plus de celui d’aujourd’hui :
- Daenerys du Typhon (…) avec L’extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea de Romain Puértolas
- Tyrell avec Jonathan Sato et le secret des alchimistes de Jean-François Morin
Merci et bonne soirée à tous
MELT527
La lecture est une invitation à l'oisiveté ; l'oisiveté, la mère de tous les vices. Donc, la lecture est un vice. J'étais très vicieux. Robert BriseboisNymphadora
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MELT527
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Je valide une nouvelle entrée du Menu Westeros – Le Nord : un livre avec un animal à fourrure sur la couverture (loup, chien, chat, ours, souris, etc) avec La crèche de Noël de Michel Wackenheim. C’est un essai sur l’évolution de la représentation physique et morale de la crèche de Noël à travers les siècles.Je ne peux pas trop dire que j’ai aimé, c’est un cadeau d’un membre de ma belle-famille après notre visite de la Cathédrale de Strasbourg au moment des fêtes de fin d’année et de la question « Y avait-il vraiment un éléphant et un chameau à Bethléem pour la naissance de Jésus ? ».
Et comme à chaque fois qu’on m’offre un livre, je me sens obligée de le lire même si le thème ne m’inspire pas du tout. Son seul avantage est d’être assez court pour être lu en deux heures (et il fait tellement chaud, qu’à par lire, je ne sais pas trop quoi faire) mais aussi de valider une entrée grâce au bœuf et à l’âne de la couverture.
Je ne recommande pas spécialement, sauf si vous voulez savoir pour l’éléphant et le chameau 😉
MELT527
La lecture est une invitation à l'oisiveté ; l'oisiveté, la mère de tous les vices. Donc, la lecture est un vice. J'étais très vicieux. Robert Brisebois
Schrö-dinger
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Je valide, dans le Menu Daenerys Targaryen, Khaleesi : un livre où l’on croise une reine, avec Rois du monde, tome 3 : Chasse royale II, Les grands arrières de Jean-Philippe Jaworski.
Je poursuis ainsi ma lecture de la saga des Rois du monde avec le 3ème tome et j’aime toujours autant. Dans ce tome, suite aux évènements du livre précédent, Bellovèse est amené au domaine d’une dangereuse reine et sorcière. Il devra subir le jugement des « trois reines », la première étant la Maitresse des lieux, les deux autres … je garde la surprise.
Il faut un peu de temps pour que l’histoire avance dans ce tome, le voyage et la longue attente du héros pour connaitre son jugement est l’occasion de nombreux voyages introspectifs, qui nous en apprennent plus sur lui. C’était déjà le cas dans les livres précédents, mais disons que dans celui-ci il y a beaucoup de retours en arrières et relativement peu d’action. Cela ne pas gêné, ces scènes sont toujours l’occasion d’approfondir l’histoire, l’univers. Et les évènements présents amènent tout de même leur lot de révélations vers la fin du tome.
Bref, une très bonne lecture. Je recommande d’enchaîner (ou en tout cas de ne pas trop attendre entre) les différents livres (un bon argument étant que les tomes 2, 3 et 4 ne forment qu’un seul livre, divisé pour des raisons éditoriales – cela me rappelle quelque chose).
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Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par
Schrö-dinger.
Le Kraken à la plage (ah-ouh, cha cha cha)
Wylla
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Avec la fougue et la vélocité d’un bébé tortue frappé d’apoplexie je valide finalement quelques »cases » du challenge.
Menu Targaryen :
- Mère des Dragons : un livre ayant un ou plusieurs dragons sur la couverture : Mille ans après tout le monde (?) j’ai lu Le Prieuré de l’Oranger de Samantha Shannon. Il m’aura fallu quelques chapitres pour vraiment me laisser emporter par l’intrigue mais ce fut une lecture agréable. J’ai vraiment apprécié le world building, les coutumes et la façon dont le thème, assez central, de la religion est traité (où est la vérité, qu’est-ce qui relève de la mystification, comment l’omniprésence de la religion vient conditionner la vision de monde des personnages etc). J’ai aussi aimé le traitement des dragons et le fait que ce soit un récit choral avec plein de persos, même si à mon goût ils étaient peut-être trop nombreux pour être développés comme ils l’auraient mérité en un seul tome, aussi dodu soit-il. Du coup ils m’ont parfois parus un peu creux et, à part peut-être Tané, je ne me suis pas vraiment attachée à eux. Ils y a aussi à mon sens quelques facilités et raccourcis narratifs mais ça reste une chouette lecture. Je suis sûre que vous avez déjà dû en parler à de multiples reprises sur le forum mais comme je suis une bille je n’ai pas réussi à retrouver les posts.
Il aurait pu convenir pour plusieurs autres catégories : Khaleesi / Mhysa / Le Conflans / Les Îles de Fer,…
Ensuite, dans le Menu Westeros je valide :
- Au-delà du mur : un livre où on a froid : Avec Sauvages de Nathalie Bernard où l’on suit Jacob, jeune autochtone de 16 ans échappé d’un pensionnat « »d’assimilation » » au Québec , à travers sa fuite dans les forêts enneigées.
Puis dans le Menu Grandes Familles :
- Greyjoy : un livre avec un traître : Le Dernier sur la Plaine , toujours de Nathalie Bernard, consacré à
Quanah Parker, dernier des chefs Comanche dans l’Ouest américain du XIXe, en lutte pour préserver la liberté de son peuple.
Conviennent aussi pour : Mhysa / Stark / Famille, Devoir, Honneur /Croître avec vigueur /Nôtre est la fureur / Insoumis, invaincus, intacts
J’ai lu ces deux titres, qui sont des romans jeunesse, dans le cadre d’une rencontre d’auteur au boulot. Ils sont bien écrits et se lisent bien, c’est de la bonne littérature jeunesse assez classique. C’était un peu trop lisse pour moi donc ça ne m’a pas vraiment embarquée malgré les sujets forts mais le public visé à apprécié.
Fitz
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Je valide le thème Meereen, un livre militant, avec Celle qui devint le soleil de Shelley Parker-Chan.
Un livre fascinant qui, non content de revisiter l’histoire de la Chine du 14ème siècle d’une manière incroyable, nous offre quelques personnages principaux exceptionnels (Zhu Chongba, Ouyang, Wang Baoxiang), et a des accents tragiques et émouvants tout à la fois (et même épiques parfois) , tout en abordant d’une manière très juste ( selon moi en tout cas) le thème de l’identité et de l’importance de la perception que les gens ont d’autrui.En bref, une excellente découverte et j’espère qu’il y aura une suite !
Aurait également pu rentrer dans les catégories Khaleesi, Mère des Dragons , L’imbrulée, Mhysa,Tyrell et L’hiver vient
Schrö-dinger
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Yoda Bor
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Crys
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Nymphadora
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Fitz
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Je valide le thème L’Imbrûlée : un livre dont le titre comporte un terme associé au feu avec Grimgar of Fantasy and Ash Volume 1 de Aō Jumonji (pour Ash dans le titre)
Cette série de light-novels japonaise parle de douze adolescents qui sont soudain transportés dans un monde de Fantasy-RPG sans aucun souvenir autre que leur nom. Mais la vie n’est pas gratuité dans ce monde et la seule réelle option qu’on leur offre dans ce monde est de devenir soldat volontaire, histoire de se battre contre les races non-humaines par groupes de 5 ou 6 pour récolter de l’argent et des matériaux à revendre . Sans comprendre trop pourquoi ils doivent faire ça ni où ils se trouvent, notre protagoniste Haruhiro et ses nouveaux compagnons devront rapidement s’adapter à leur nouveau travail sinon la mort les attendra, qu’ils meurent de fin ou tués par une des créatures qu’ils vont affronter.En ce qui concerne mon avis, le principal défaut du livre est que le monde est vraiment ultra-classique et réminiscent d’un Fantasy-RPG avec des elfes, des Gobelins, des morts-vivants, aussi un système de guildes et de classes (paladin, prêtre, voleur, guerrier,…) et de compétences à apprendre, uniques aà chaque classe. On a vraiment l’impression d’être dans un monde de jeu (et peut-être de fait, l’est-on vraiment , je ne sais pas si c’est là que l’auteur veut nous amener).
Dans les points positifs, les personnages sont facilement différentiables tout en n’étant pas unidimensionnels et leurs interactions (ou refus d’interactions entre eux ) sont agréables à lire.
De plus, le ton est assez sombre, on sent que le danger est là pour nos personnages principaux et la mort n’est jamais loin.
En bref, un monde très stéréotypé compensé par des personnages attachants et une histoire engageante, je lirai le Tome 2 , même si sans doute pas tout de suite.
Aurait également pu rentrer dans la catégorie Feu et Sang
Jon
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Je valide L’hiver vient du menu Devises (un livre qui se déroule sur au moins deux saisons) avec She who became the sun de Shelley Parker-Chan.
On en a fait un débrief dans notre épisode de juillet des Manuscrits de Mestre Aemon (attention ça spoile sévère à partir de ~30min), et Fitz en a parlé juste au-dessus, donc je ne reviens pas dans le détail, mais j’ai beaucoup aimé ce livre 🙂
Il aurait pu rentrer dans plein de catégories, mais j’ai finalement choisi celle-ci car c’est rare (je trouve) que le changement de saison ait un véritable impact sur l’histoire comme c’est le cas ici : en fonction de la saison, les armées ne subissent pas les mêmes contraintes, et le rythme des campagnes est vraiment calqué sur le rythme des saisons, ce qui transparaît très nettement dans le livre 🙂Nymphadora
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tyrionuscule
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Je valide dans le menu Devises : feu et sang un livre où un personnage est brulé ou ensanglanté
Avec Les veilleurs de jean-luc Bizien (vu le nombre de lycanthropes, goules et vampires qui y rodent, il y a pas mal de personnages ensanglantés…)
Le pitch est alléchant : Paris est victime d’un étrange virus qui transforme ses habitants en goules, loups garous et vampires. Seuls les adolescents et plus encore les enfants semblent épargnés.Les autorités réagissent brutalement en murant Paris au niveau du périphérique. A l’intérieur se débattent les monstres, les enfermés-tous ceux qui n’ont pas pu fuir à temps et les veilleurs-réintroduits par le gouvernement pour rendre compte de la situation et effectuer certaines missions. Tout autour des snipers sur des miradors sont là pour prévenir toutes tentatives de fuite.
Alléchant donc mais pas si réussi que ça au final! Déjà parce que l’histoire n’avance pas; j’ai lu les deux premiers tomes et j’ai eu l’impression d’être arrivé au milieu d’une grosse nouvelle. Ceci est principalement du au système des POV ( n’est pas Martin qui veut…) qui ne sont pas nombreux donc on retombe vite sur le même personnage. Or, les chapitres sont courts et à chaque fois ça commence par un résumé de là où on a laissé le personnage -qu’on vient de quitter- puis une action (minime quelquefois) et la suite au prochain POV où l’action sera elle même résumée. Donc oui c’est fastidieux ! A cela s’ajoute un monde peu développé même s’il se complexifie peu à peu mais si lentement… A le fin du tome deux on commence à apercevoir un début d’organisation des monstres, ce qui semble prometteur (mais là encore tout ça pour ça !). Les personnages sont inégaux, on est vraiment dans du Young Adult et pas dans le meilleur sens du terme.
Et pourtant c’est un univers très graphique, on voit vraiment Paris emmuré avec des filins pour aller d’un immeuble à l’autre. Peut-être une magnifique BD en perspective on verra !
En résumé, je ne sais pas si je lirai la suite car si le monde décrit est intéressant il faut vraiment pouvoir passer outre un grand nombre de défauts (construction, style…).MELT527
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MELT527
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Bonsoir à tous,Je viens de finir ma lecture commune pour Ewilan et je l’ajoute donc au challenge pour le Menu Devises – Insoumis, invaincus, intacts : un livre où un personnage est un valeureux combattant car je souhaiterai mettre à l’honneur Edwin Til’ Illan, le Maître d’armes de l’Empereur, Général des Armées alaviriennes, commandant de la Légion noire, Vainqueur des dix tournois et le premier alavirien à avoir réussi à défaire quatre Ts’liches seul. Un combattant fantastique, une légende vivante. Les personnages secondaires sont rarement aussi talentueux dans les romans jeunesse et young adult, les auteurs préférant donner toutes les qualités et les habiletés à leur personnage principal au détriment de leurs compagnons de route.
On ne présente plus La quête d’Ewilan tome 1 – D’un monde à l’autre de P. Bottero mais je vous encourage fortement à lire tous ses romans car c’est une expérience qui a changé mon regard sur la lecture, sur l’imagination, le courage et l’amitié. Un coup de cœur qui n’a pas vieilli en 20 ans.
Elle apprend à vieillir, expliqua-t-il d’un ton triste, ça lui fait mal.
Je valide également dans le Menu Essos – Meereen : un livre militant avec Houdini magicien et détective, tome 1 : Metamorphosis de Vivianne Perret. C’est une autre petite déception dans les recommandations des Mots de l’imaginaire.Résumé : Nous suivons Houdini, devenu un magicien célèbre qui voyage de ville en ville pour se produire dans les plus grandes salles de spectacle. Accompagné de sa femme, qui est aussi son assistante sur scène, ils arrivent à San Francisco où il est invité par un riche négociant en soie de Chinatown à enquêter sur la disparition de sa nièce, en échange d’un manuscrit rare sur des tours de magie chinois (un truc très très rare). Là il découvrira les horreurs que vivent les chinois qui débarquent aux Etats-Unis.
C’est évidemment une fiction qui se base sur des faits réels : il est vrai que Houdini proposait à la police de chaque ville où il se produisait d’être mis à l’épreuve (le coup d’escapologie avec des dizaines de paires de menottes dans une salle vide) et qu’il a apparemment apporté son aide dans des enquêtes. Mais je dois dire que j’ai trouvé toute la partie avec Houdini assez fade. Il ne faisait que s’émerveiller du fait de pouvoir manger à sa faim, serrer la main de gens importants qui ne lui auraient pas donner l’heure quand il était gamin et faire le tango horizontal avec sa femme (très sympathique).
Ce qui m’a retourné, ce sont les descriptions des conditions de vie des chinois à la fin du XIXe siècle aux Etats-Unis et surtout des chinoises. Les descriptions très graphiques des taudis dans lesquels elles étaient enfermées, les supplices qu’elles subissaient pour ne pas qu’elles puissent s’échapper et la façon dont les proxénètes s’en débarrassaient lorsqu’elles ne rapportaient plus d’argent ou tombaient malades. Elles étaient emmurées dans une pièce avec une bougie et quelques bouts de pain jusqu’à ce qu’elles décèdent, ça m’a tourné l’estomac. J’ai trouvé que le roman m’en disait plus sur cet aspect de l’Histoire avec un grand H que sur Houdini qui ne donne pas de valeur ajoutée au roman. Je le conseille à ceux qui veulent en savoir un peu plus sur cette partie moins reluisante des décisions américaines sur les immigrés chinois du XIXe siècle et la façon inhumaine dont ils étaient perçus.
MELT527
La lecture est une invitation à l'oisiveté ; l'oisiveté, la mère de tous les vices. Donc, la lecture est un vice. J'étais très vicieux. Robert BriseboisNymphadora
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The Expanse, tome 7 : Le Soulèvement de Persépolis, de James S. A. Corey pour valider le Conflans (un livre avec des batailles)Je poursuis ma lecture de The Expanse, sans les enchainer, mais avec un voyage dans l’espace de temps en temps ^^ Je n’avais pas trop aimé le tome précédent, et je dois dire que celui-ci est bien meilleur. La saga est assez inégale mais toujours divertissante quand elle réussit à mêler les enjeux à hauteur d’homme et la grande Histoire, avec des intrigues politiques qui pètent. C’est le cas dans ce tome. L’histoire met toutefois beaucoup de temps à démarrer : on commence par un saut temporel et, le temps de replacer les personnages et intrigues dans ce nouvel état du monde, c’est un peu longuet. Néanmoins, une fois qu’on est dedans, les pages s’enchaînent toute seules et on est contents de retrouver Holden et sa petite bande. Un tome sympatoche donc.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 8 mois par
Nymphadora.
~~ Always ~~
Quintus Cularo
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Fan de Lovecraft ?
Le mot est faible en l’occurrence.
Je valide le thème Baratheon (Menu Grandes Familles) avec Le Crime de l’hôtel Saint-Florentin de Jean-François Parot.
Au début du règne de Louis XVI, une femme de chambre est retrouvée, à coté d’un domestique inconscient à l’hôtel particulier de Louis de Saint-Florentin, ministre du roi. Nicolas le Floch, commissaire au Châtelet dois alors mener l’enquête.Bon, ceux qui connaissent l’œuvre de Jean-François Parot savent que j’ai joué la facilité pour ce thème. Comme dans les précédent tome, chaque repas que prendrons les personnages (et il y en a beaucoup) nous sera allégrement décrit. Je déconseille grandement de lire ça le ventre vide.
Sur le reste on retrouve avec beaucoup de plaisir la plume de Parot et ses intrigues, souvent très emmêlées, mais toujours bien pensées. Les personnages sont toujours aussi attachants, et surtout le langage dans l’esprit de l’époque représente toujours autant une des grandes forces de la série. Petit point un peu plus négatif, j’ai toutefois trouvé l’affaire un peu faiblarde par moment, bien que les entremêlements scénaristiques permettent de rehausser le tout.
Bref on est bien dans la continuité de la saga (que je recommande dans son intégralité, bien que le style soit souvent très dense), et ce tome à une saveur très particulière, étant donné que je travaille littéralement à coté du lieu qui lui donne son nom.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par
Quintus Cularo.
N'est pas mort ce qui à jamais dort, mais en d'étranges ères peut mourir même la mort.
Wylla
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Je viens de finir »Le Chant des Géants » de David Bry avec lequel je valide, dans le menus Westeros : Le
Conflans*, car les batailles occupent une place essentielle dans ce roman qui emprunte au conte et à la chanson de Geste.Le roman s’ouvre dans une taverne de l’île d’Oestant, terre où dorment 3 géants qui rêvent le destin des hommes. Un conteur y narre une histoire aux thèmes universels : amour, guerre, trahison,.. qui est plus précisément celle de 2 frères, les princes Bran et Ianto. Je n’en dis pas trop histoire de ne pas vous gâcher le plaisir d’une éventuelle lecture.
C’est un titre qui se lit vite et bien, le revers de la médaille étant que la narration est peut-être un peu trop rapide pour que l’intrigue et les personnages aient une véritable épaisseur, même si elle s’étoffe vers la fin du roman. Le style est fluide et assez poétique (même si 2 trois répétitions par ci par là m’ont un peu gênée)et il y a une vraie « ambiance » notamment grâce à la présence du conteur. J’ai passé un bon moment de lecture même si ce n’est pas un coup de coeur. C’est un titre qui me tentait vraiment et j’avais beaucoup d’attentes donc c’est plus facile d’être déçue. J’ai vu qu’un topic est consacré à David Bry et j’ai réalisé qu’il avait écrit d’autres titres qui sont sur ma liste à lire, je me laisserai sûrement tenter !
*J’ai hésité à valider Mer Dothrak (qui risque de ne pas être facile à valider ahah) car il y a deux petits chevaux sur la couverture.
FeyGirl
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MELT527
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Bien le bonsoir,
je valide dans le Menu Westeros – Les Terres de l’Orage : un livre où un personnage affronte le mauvais temps avec Into the deep de Sophie Griselle.
Résumé (Babelio) : À plus de onze mille mètres de fond, la fosse océanique des Mariannes, au large de l’océan Pacifique : l’endroit le plus profond sur Terre… C’est là que Sam Luzarche, jeune océanologue, découvre une créature qui pourrait bien remettre en question tout ce qu’il croyait savoir sur la science, sur les fonds marins et, en définitive, sur lui-même.J’ai lu ce livre pour le challenge SFFF qui met à l’honneur les éditions SNAG. Je doit dire que j’ai trouvé toute la première partie de ma lecture plus que désagréable. Le personnage principal, son intérêt amoureux, son père, aucun de ces personnages n’a suscité en moi autre chose que du mépris ou de l’indifférence. J’avais l’impression que leur caractère n’était qu’un bouton à deux positions. Sam ne semblait pouvoir qu’être dépressif ou en colère, son père arrogant ou carrément fanatique, la copine humiliée ou offusquée… ça s’améliore un petit peu à 60% du roman, mais bon faut y arriver.
De plus, la raison pour laquelle je n’ai pas du tout aimé la première partie tient au fait des problèmes d’éthique et de morale que rencontrent les personnages, alors que pour moi il y a jamais eu aucun débat.
Spoiler:Je pense que le roman n’était clairement pas fait pour moi, mais pourrait plaire à un lectorat plus jeune ou avec moins d’attentes. J’entend par là des gens qui ont moins lus et donc, pourraient être surpris par les retournements, l’histoire en général et ne pas voir les petits problèmes de narration et de construction de personnages.
MELT527
La lecture est une invitation à l'oisiveté ; l'oisiveté, la mère de tous les vices. Donc, la lecture est un vice. J'étais très vicieux. Robert Brisebois- Éplucheur de Navets
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je valide dans le menu Essos : Braavos : un livre dont l’auteur n’est ni américain, ni anglais, ni français
avec Le trésor de la baie des orques de kenneth Cook (Australie)
Après avoir perdu toutes ses économies au poker, Jonathan échoue à la baie des orques où il va travailler comme baleinier. Il rencontrera un aventurier local avec lequel il se mettra en quête d’un trésor englouti…
C’est résolument un roman d’aventures. Roman d’aventures <i>à l’ancienne</i> qui se lit facilement, qui est plaisant mais très peu développé et qui pour ma part s’oublie facilement…
Les personnages ne ressemblent qu’à des archétypes juste nécessaires pour faire avancer l’action et l’unique femme de l’histoire est réduite à un cliché peu passionnant
Ceci dit, l’histoire est sympathique (quoique totalement prévisible et invraisemblable ), mais le cadre et le contexte sont intéressants. On est au bout du monde dans un port dont la seule activité est la chasse à la baleine , chasse-poursuite où les orques aident les hommes et dont les descriptions sont assez savoureuses. Quelques passages assez drôles comme celui où un personnage pense que la meilleure façon de soigner un lumbago est de se plonger entièrement nu dans le corps d’un orque éventré !… Quant au trésor et à sa chasse on a plutôt l’impression d’être dans un livre dont vous êtes le héros.
Cela peut néanmoins constituer une bonne lecture d’été pour peu qu’on aime les baleines.
L’aut
eur Kenneth Cook est plus connu pour ses nouvelles qui parait il sont très drôles.-
Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par
tyrionuscule.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par
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R.Graymarch.
Crys
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Hoplà, je viens de terminer le bouquin de Vincent Ferré, Lire J.R.R. Tolkien, dont je détaille le retour ici. On est globalement sur de l’analyse de l’œuvre du Professeur en mettant en parallèle son travail universitaire comme fictionnel, et en démontrant comment les deux sont liés dans l’appréhension de sa vision du monde. C’était fort très intéressant, même si plutôt technique (faut aimer les notes de bas de page). Du coup il me permet de valider le Lannister de mon menu Grandes Maisons, avec une couronne d’or sur la couverture (celle d’Aragorn à la fin du Seigneur des Anneaux de Jackson, qui pour le coup est dorée, même si d’argent dans le film).MELT527
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Bonjour à tous,je valide dans le Menu Devises – Croître avec vigueur : un livre où la nature ou l’agriculture a un rôle important avec le livre de Naomi Novik Déracinée qui a déjà été présenté par @quentin-tournon, et où le Bois qui menace le pays est un personnage à part entière.
C’était un bon roman, une belle histoire, assez fantasy et étrangère pour que j’apprécie de me perdre dans ses péripéties. On sent au fil des pages les inspirations slaves et polonaises de l’autrice qui s’approprie ici le folklore pour nous livrer un joli conte pour adultes.
J’ai aussi grandement apprécié le détournement du conte de La Belle et la Bête.Lorsque l’on commence le roman, nous avons un magicien qui prélève tous les 10 ans une jeune fille de 17 ans de la Vallée en guise de tribut pour sa protection contre le Bois, une entité malfaisante qui dévore troupeaux et villageois pour croître et gagner du terrain. Cette jeune fille reste avec le Dragon dans sa tour sans aucun contact avec l’extérieur puis est relâchée changée. La plupart ne retournent pas chez elles mais partent en voyage, s’installent ailleurs… Je m’attendais presque à un huis-clos entre Agnieszka et le Dragon, mais rapidement, les rôles sont redistribués et l’histoire nous emmène dans différents endroits pour y rencontrer de nombreux personnages fascinants. Mention spéciale à la magicienne forgeronne.
Autre bon point, c’est un one-shot, ce qui est rare en fantasy je trouve et surtout le roman se tient de bout en bout et ne semble pas inachevé. Cela me rend très curieuse de tenter la nouvelle trilogie de l’autrice Éducation meurtrière.
Je le recommande à tous ceux qui aiment s’aventurer dans les bois pour le plaisir de la découverte et apprécient les romans loin des modèles américains.MELT527
La lecture est une invitation à l'oisiveté ; l'oisiveté, la mère de tous les vices. Donc, la lecture est un vice. J'étais très vicieux. Robert BriseboisSchrö-dinger
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Wylla
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Hop, je viens de finir Persuasion de l’inimitable Jane Austen. Je l’avais depuis un moment dans ma bibliothèque et j’ai eu envie de le lire avant de, potentiellement, regarder l’adaptation Netflix qui semble assez décriée. C’est toujours un plaisir de retrouver
l’esprit aussi subtil qu’incisif de Jane Austen, son talent pour décrire les caractères et son humour sarcastique – toujours pondéré par la bienséance of course.Comme la catégorie que je pensais valider avec ce titre n’existe que dans mon imagination, je valide, dans le Menu Westeros : Le Bief : un livre avec des fleurs sur la couverture. Je joins la couverture pour prouver la présence des dites fleurs, mais c’est pas parce que j’ai peur de Nympha, promis.
@MELT527 Si tu as aimé Déracinée tu aimeras probablement La Fileuse d’argent, aussi de Naomi Novik qui est également un one shot et s’inscrit dans cette même atmosphère Europe de l’Est / conte.
Je te conseille aussi vivement La Trilogie d’une nuit d’hiver, de Katherine Arden 🙂 .
MELT527
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Yoda Bor
tyrionuscule
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